Faire un film de James Bond s’apparente à une savante opération marketting : Financement des marques automobiles concernés. Il n’y a pas une chaise sur lequel James Bond pose son cul ou un objet qu’il saisit, dont la marque déposée n’est pas craché au bassinet.
Continuons pendant qu’on y est : Désolé, mais je n’arrive pas à retrouver mon âme d’enfant et à oublier les grosses coutures, et cette fascination de l’individualisme, de la performance, du super héros, de la beauté plastique siliconée, bref des valeurs américaines incarnées par le libéralisme le plus total.
Mais peut-être que je me trompe, et qu’il n’arrive pas à la hauteur de la cheville d’un des films des frère Coen par exemple, cinéastes qui me fascinent , par leur ironie, et leur capacité à mettre en pièce le rêve américain
Une des raisons pour lesquels je n’irai pas voir ce film, dont le rapprochement avec Rosebud, le chef d’oeuvre d’Orson Welles me semblent vraiment douteux, mais sans doute à ’l’égal de l’enthousiasme de notre narratrice.
Car voilà une chose c’est vrai qui ne se commande pas.
Une siège de cinéma est toujours préférable à celui d’un dentiste.
En conséquence ne tenez pas compte de ce billet s’il a réussi à vous faire oublier votre mal de dents.
« Vous ne risquez pas grand chose, tous les critiques l’encensent ! »
Hum....voilà qui pourrait faire débat.
Quand on sait les rapports incestueux entre producteurs et critiques, surtout pour de tels paquets de frics