Commentaire de jack mandon sur Edward Hopper, un colosse entre réalisme et abstraction

Commentaire de jack mandon

sur Edward Hopper, un colosse entre réalisme et abstraction

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jack mandon 29 octobre 2012 23:02

Sabine,

On peut épiloguer à l’infini.

J’aimerais apporter une précision, dans ce que nous avons en nous, artistes ou non,
il y a quelque chose d’intemporel. Je l’ai vécu dans les états hypnotiques ou sophroniques.
Ce n’est pas du livresque, c’est de l’expérimentation, du concret.
Fort de ces expériences sur plusieurs décennies, j’ai mieux compris l’inspiration artistique
et ses effets prédictifs, visionnaires. Là, je ne partage pas votre avis.
Le cerveau n’a pas livré tous ses secrets.

Bonne nuit Sabine

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