Le capitalisme ne passe plus que par la
rémunération indécente, en comparaison des revenus précaires
distribués, et maximiser le profit à court-terme, qui sont les
seules mesures du succès même si les lourds dégâts sociaux et
environnementaux sont bien réels et de plus en plus grave.
Les banques et les multinationales,
soutenues par les institutions politiques (nationales et
international) et économiques, dictent les règles du jeu de la
mondialisation. Ouverture des frontières par la baisse des droits de
douanes et concurrence déloyale pour réaliser plus de profits en
exploitant la pauvreté, précarisation de masse des contrats de
travail,ect...avec un marchandising médiatique pour dire que c’est
inéductable. Un conflit d’intérêt qui permets de rendre plus
« acceptable » ses dérives.
Toutes rigueurs scientifiques et
morales sont détruites au profit de l’argent et valider par la loi
ou la faiblesse des sanctions qui sont volontairement marginales. Des
expertises sont faussées dans l’alimentaire, les produits de
fabrication ou la santé, pour avoir plus de ventes et donc de
rentabilité. Les mesures contre le réchauffement climatique ou la
surexploitation des ressources naturelles sont mises aux oubliettes
ou vider de leurs contenus lorsqu’elles font face à des intérêts
économiques, même si tous ceux-ci va à l’encontre de l’intérêt
général.
Poursuivre vers l’idée d’une
augmentation de son pouvoir d’achat alors que les prix sont en
constante hausse pour que les multinationales et les banques continue
sans cesse d’accroître leurs marges. Les salaires proposés sur le
marché sont de plus en plus faible, les salaires publics et privés
sont gelés, et on exige même que les salaires baissent pendant que
le coût de l’inflation rends la vie de plus en plus cher et
difficile.
Saisissant, l’obsession de l’argent et
de manière ostentatoire sont de plus en plus présent dans la
société capitaliste.
Le capitalisme ne fait plus que
supprimer toute concurrence, le contraire même de sa publicité, et
accumule des profits par la rente, qui détruit le tissu local et
appauvrit les populations au détriment d’une classe capitaliste
mondialisée qui bénéficie d’un vide législatif de
l’environnement, d’une manipulation des prix et des taux sur le
marché économique et financier et, de la mise en concurrence des
citoyens par la pauvreté.