• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de morice

sur Squarcini et la filière syrienne (7) : bien plus qu'un ratage


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

morice morice 1er novembre 2012 17:58

et une plainte de plus... je ne peux que soutenir a démarche, ayant fait la série pour que cette famille, précisément, puisse avoir un maximum d’arguments à produire.


http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20121101.OBS7851/info-obs-affaire-merah-nouvelle-plainte-contre-la-dcri-et-squarcini.html

« Personne, dans le rapport (de l’IGPN, rendu public le 23 octobre ndlr), n’est identifié comme étant responsable », poursuit-elle. Avant de faire référence aux éléments rendus publics mercredi 31 octobre par « Libération », selon lesquels les policiers toulousains du renseignement, qui avaient envisagé de transmettre le dossier de Merah au parquet antiterroriste en juin 2011, auraient été freinés dans leur démarche par leurs supérieurs parisiens de la DCRI : « Si ces policiers toulousains disent vrai et que la décision a réellement émané de Paris, alors qui a pris cette décision à Paris ? », demande l’avocate.

Alors qu’une cérémonie en hommage aux victimes du collège Ozar Hatorah de Toulouse s’est tenue ce jeudi 1er novembre en présence du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou et du président François Hollande, l’ex-ministre de l’Intérieur Claude Guéant est monté au créneau pour défendre la DCRI. Avant les drames de Montauban et Toulouse, « jamais le comportement (de Merah ndlr) n’a révélé de dangerosité » a-t-il déclaré. « Les bras m’en sont tombés » commente, « très sceptique », Béatrice Dubreuil, « qu’il nous prouve, dans ce cas, que ce qu’il dit est vrai. »


Squarcini a menti sur la dangerosité de Merah, et ça, on le sait désormais.


François Hollande a promis jeudi que « toute la lumière sera faite » sur les « failles » dans l’organisation des services de renseignement mises à jour par l’affaire Merah. Ce qu’espèrent les proches des victimes. « Nous utilisons toutes les voies de droit en notre possession pour que la lumière soit faite » précise encore l’avocate de la famille Chennouf Béatrice Dubreuil, avant de conclure : « La même volonté est commune à toutes les familles de victimes : connaître la vérité. » 


même la pire ? 

Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès