Toutes ces notions sont nouvelles pour moi et donc il me faudra les assimiler, les digérer.
Juste un point de détail qui m’éloigne totalement du sujet de votre article, mais qui m’a interpelée :
"le comportement humain (et animal en général) peut moduler
l’expression des gènes. En effet, ce comportement (alimentation,
exercice, management du stress, relations sociales, réseaux social et
familial, plaisir…), conduit à la production dans les cellules d’un
certain nombre d’activateurs ou d’inhibiteurs, jouant le rôle
d’interrupteurs chimiques qui vont éteindre, allumer, augmenter ou
diminuer l’expression de certains gènes. Un processus fondamental dans
la prévention de maladies, le maintien d’une bonne santé, le
ralentissement du vieillissement.«
Avoir connaissance de ces facteurs est indispensable, et il est en effet très important que nous adoptions une hygiène de vie plus »healthy« . Cependant, ne risquons nous pas, à l’avenir, et sans même nous en rendre compte, de devenir encore plus tournés vers nous même, encore plus égocentriques, encore plus égoïstes en ceci que, partant du principe que les six facteurs que vous avez énoncés influent de façon directe sur notre métabolisme si nous les »manageons" de façon positive, cela aura pour conséquence que le moindre de nos choix de vie, toute notre attitude vis à vis de la société et de nos relations sociales, tous nos comportements, n’auront un jour plus d’autre but que produire un effet positif sur notre propre organisme ? Car il est impossible dans ces conditions d’ajouter l’altruisme comme septième facteur de modulation de l’expression des gènes, car ce serait lui ôter alors tout son sens. Je ne sais pas si je suis arrivée à me faire comprendre, c’était pas facile à exprimer.