La classe capitaliste financière et économique s’enrichit grâce à la mondialisation des échanges. Pour les populations, ce type de commerce va dans le sens d’un nivellement vers le bas du niveau de vie, prix cher, baisses des droits et refus d’entrevoir des progrès sociaux. Les riches marchands de l’ancienne Cité de Venise montre ses dérives.
Le premier but, par le biais de la
politique, est le développement des contrats dans les échanges.
C’est une marchandisation de la société. L’ouverture des frontières
et l’absence de droits de douanes pour protéger le commerce
national, ont permis à la classe capitaliste de s’implanter sur de
nombreux territoires, et d’installer les multinationales et leurs
mécanismes financiers et bancaires.
L’influence des riches marchands sur la
vie politique intègre aussi leurs principaux opposants, comme les
syndicats ou les associations de nos jours. Dans certains pays
pauvres, les ONG font travailler les populations locales pour les
grandes entreprises étrangères, pour des salaires de misère. Les
collusions entre le patronat et les syndicats, sous forme de
corruption ou d’entente, se voient dans l’actualité ou sont
dénonçés.
La Cité des Doges de Venise avait fait
voter une nouvelle loi qui avantageait les plus riches par rapport
aux autres marchands. Les PME/PMI, petite entreprise (TPE) et
auto-entrepreneur (euse) subissent les même désavantages par la
législation (commune ou spécifique), une fiscalisation,ect...qui
avantagent les multinationales ou les grandes entreprises. La
participation des marchands moins aisés aux activités de commerce
chute.
Outre la banalisation des pratiques
policières et répréssives, comme en Chine avec nombres
d’industries et d’importations. La classe capitaliste financière et
économique devient rentière, avec des exigeances de profits de plus
en plus élevés, avec des rendements et une biologie planétaire qui
ne sont plus matériellement réalisable sur la durée (renouvelable
à terme). La vie en société finit par ne dépendre que du travail,
avec des horaires de plus en plus difficile à soutenir et des
revenus (malgré les rendements) qui ne permettent plus de faire face
à ses besoins de la vie de tous les jours. La marchandisation, qui
laisse beaucoup de dettes (économiques et écologiques) derrière
elle, devient source de danger pour l’environnement et la cohésion
sociale.
06/11 19:29 - Romain Desbois
Mais je crois que quelque soit le système, si l’humain est bon le système (...)
06/11 10:56 - Jean-Pierre Llabrés
06/11 09:25 - jpm
Jean-Pierre Llabrés, Par exemple un dividende universel pourrait très bien se financer en (...)
06/11 07:18 - Jean-Pierre Llabrés
06/11 00:49 - walden
et donc nous aurions intérêt à baisser les salaires et à augmenter les bénéfices pour tirer (...)
05/11 22:50 - louphi
Pierre Llabrés « Quand je lis cette énorme contrevérité, c’est moi qui suis mort de (...)
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