Merci à tous pour vos commentaires.
@Cédric Moreau
Il est effectivement nécessaire d’inclure au moins l’avis
populaire dans l’affectation des émissions de la Banque de France.
@ Claude
Un peu les deux. ;) Mais c’est difficile de faire plus
synthétique.
@Manusan
Merci, mais je ne suis pas « politique » .. de
plus, en 2017, je serai quand même un peu trop vieux :)
@walden
La masse monétaire (M1) n’est pas stable, elle croit
chaque année. Parallèlement les épargnes (et donc les prêts) vont
croître (on ne parle plus de M2 ou M3 puisque dans le contexte
« SMART » ce n’est plus de la monnaie.
Votre objection
est intéressante, mais c’est bien à mon avis la politique
d’imposition (des revenus ou du capital) qui doit permettre d’arriver
à réguler les excès d’accaparement d’une partie de la richesse ;
je ne pense pas que la monnaie (et sa gestion) en soit capable.
Il n’y a pas de stagnation de « l’offre monétaire »
puisque la croissance de la masse de monnaie est programmée.
Si la maîtrise de la masse monétaire ne permet pas de
maîtriser tous les risques (et les cycles) il est probable, comme le
suggèrent les deux économistes du FMI (Jaromir Benes and Michael
Kumho ) et Allais, que les risques seraient sérieusement diminués
Pour votre commentaire de 17:46, tout à
fait d’accord avec vous, mais la majorité des politiques n’ayant
déjà pas compris le système monétaire actuel, il faut continuer à
expliquer.
@bigglop
D’accord avec votre idée générale, mais sauf sur un
point : le SMART est sans doute le seul système qui, donnant la
primeur de la création monétaire à l’Etat va permettre justement
d’affecter cette monnaie dans les projets collectifs de transition
énergétique et écologique (ne serai ce par exemple que l’isolation
des bâtiments), besoins que la F.N.H. évalue à 60 Md€/an pendant
10 ans pour la France