Hello,
d’accord avec la 1ere partie de ton intervention (le malheur des femmes n’est plus structurel, il est comportemental), par contre, quand tu écris
En revanche, avorter parce
que ce n’est pas le bon moment ou des suites d’un oubli, faut pas se
foutre de la gueule du monde non plus ! Il s’agit d’une vie potentielle.
Alors
tout le monde peut faire des erreurs, et il ne s’agit pas d’incriminer
ces femmes. Faire des erreurs c’est naturel et normal, les repeter c’est
etre une conne irresponsable.
Voila pourquoi je penses que seul
le premier avortement devrait être remboursé. Le second, lui devrait
faire preuve d’une étude pour savoir le pourquoi du comment, et ne pas
être remboursé s’il s’avère etre les conséquences d’une négligence.
là je ne te suis plus. Ayant déjà vu une amie tomber en dépression suite à un avortement, j’ai du mal à croire qu’on puisse s’en servir comme mode de contraception. Je doute que de telles stats existent, mais la « récidive » d’avortement me parait plus relever du fantasme que de la réalité.
Par ailleurs, j’aimerai te rappeler qu’aucun moyen de contraception n’est efficace à 100%. 99,9% c’est déjà bien, mais dans le cadre d’une sexualité quotidienne, les 0,01% qui restent pèsent sacrément lourd. Si ne j’avais « que » 0,01% de chance de me faire écraser par une voiture chaque fois que je traverse la rue, il ne me resterait probablement plus beaucoup de temps à vivre.
Finalement, on en revient toujours à la même question : les femmes sont-elles libres de leur sexualité, que les contraintes soient sociales ou (ici) biologique ?