Commentaire de Taverne
sur Gustave Courbet, mais jamais ne rompait
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Je n’ai rien compris à votre sophisme. Nous ne devons pas avoir la même perception de la maturité. Soyez plus clair.
La mort comme un aboutissement ou comme une libération ne me dérange pas. Tout dépend donc de quand et de quelle manière elle me tombe dessus. J’aurai peur d’avoir à revivre. Je préfère rejoindre le néant pré-natal. Je survivrai dans mes enfants et mes petits-enfants.
Derniers commentaires
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11/11 12:12 - JL
Oui, c’est bien connu de tous que satan l’habite ! Quoique ... ! (...)
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11/11 10:07 - Georges Yang
Si l’on en croit Voltaire, dans Candide, les papistes croyaient que l’âme de (...)
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09/11 21:28 - herbe
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09/11 21:27 - herbe
Merci ! En tout cet artcile montre bien le fossé existant entre Agoravox et Facebook et (...)
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08/11 15:15 - paco
Que de méchanceté élitiste, Mascarille ! Si vous etiez une femme, vous mériteriez un « (...)
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08/11 12:07 - Alinea
Taverne : j’applaudis à ce poème ; curieux pour moi ce retour à la terre de mon (...)
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