@ Ornithorynque (du 8
à 15 h 43)
Comme vous je défends
l’excellente base spirituelle chrétienne que sont les Evangiles. Mais ce n’est
qu’une « demie-base », l’autre étant l’Ancien Testament réaffirmé
sottement et intégralement « Parole de Dieu » par les Pères fondateurs de
l’Eglise catholique, ce qui a permis
au prophète Mohamed, venu plus tard, de fonder sa nouvelle religion sur
la croyance en une « bonne » violence « de Dieu », mais en ne
la présentant plus comme « ancienne et dépassée », ce que faisait
l’Eglise, mais toujours valable et nécessaire jusqu’à la soumission du monde
entier au « seul vrai Dieu », le Dieu Allah.
Les Pères de l’Eglise
ont donc fait une énorme sottise,
aux conséquences très graves. Benoît XVI persévère, lui, dans un odieux
entêtement dogmatique et égoïste qui le rend très clairement responsable, même si c’est partiellement et indirectement, de la
violence effective commise encore,
aujourd’hui et demain, par des islamistes. La théologie criminogène de l’islam -
de beaucoup la pire de toutes - ne pourra être combattue clairement que si le
judaïsme et le christianisme détruisent préalablement leur propre théologie criminogène.
Voici un extrait de
l’article dont je propose la lecture plus haut (Benoît XVI, premier
responsable…) :
» Il faut au moins savoir gré
à Benoît XVI d’avoir re-précisé et souligné, dans le nouveau catéchisme de
l’église catholique, sa conception duale, violente, criminogène de Dieu.
Lorsqu’il n’était encore que le cardinal Ratzinger la responsabilité du comité
de rédaction lui fut confiée. Ce comité donna une fois de plus valeur de dogme
à la croyance en une « bonne violence » de Dieu. Il confirma qu’il
fallait continuer de l’enseigner et la transmettre aux générations futures.
Il
le fit, certes, indirectement mais de manière parfaitement claire en
réaffirmant que le Livre de Josué est aussi « saint » que tous les
autres de l’Ancien Testament (passage 120 du Nouveau catéchisme), que tous ces
livres « ont Dieu pour auteur », sont jugés par l’Eglise
« sacrés et canoniques », « avec toutes leurs parties »
(105), laquelle Eglise « n’accueille pas seulement une parole humaine,
mais ce qu’elle est réellement : la Parole de Dieu » (104). Il le fit en
réaffirmant que « Dieu est l’Auteur de l’Ecriture Sainte en inspirant ses
auteurs humains » et qu’il « donne ainsi l’assurance que leurs écrits
enseignent sans erreur la vérité salutaire » (136), « tout ce qui
était conforme à son désir et cela seulement » (106), qu’ils enseignent
« fermement, fidèlement et sans erreur la vérité que Dieu a voulu voir
consignée pour notre salut (107)…«