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Commentaire de ddacoudre

sur Gay : le débat des barbares


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ddacoudre ddacoudre 9 novembre 2012 00:28

bonjour franc

bonjour franc

j’ai apprécié ton commentaire, il ma rappelé les nombreuses discutions que j’avais avec un ami pasteur et des souvenir d’une époque ou j’ai fait des stages de formation dans un institut théologique protestant aussi je comprend parfaitement tes propos. et a te surprendre moi un agnostique voire un athée j’y souscris, car en fait tu développes la perception de l humain de l’indéfinissable que vous appelez dieu, mais il est vanité humaine que de vouloir fixer des absolues encore plus avec l’usage d’un langage, tous ceux qui l’on fait les ont vu s’écrouler. Nul doute qu’il existe un Tout ordonné, même notre théorie du big bang n’est que explication humaine
d’un être qui s’interroge. Souvent je donne comme analogie le principe du pendule dont son mouvement doit son existence au point qui l’attache et lui permet son mouvement, un clou par exemple. En physique ils appellent cela un attracteur. Dieu c’est cela, sauf que le pendule s’il présent ce qu’il y a au dessus de lui qui lui donne l’existence il n’en a que l’idée qu’il peut imaginer, et si jamais il veut devenir le clou, il change d’état comme la glace qui devient eau et l’eau vapeur et il a perdu sa nature de pendule ou bestiale pour toi, le clou peut il être que bon, c’est ce que nous imaginons pour nous séparer de la souffrance comme les bouddhistes.
sauf que ta représentation ou la mienne faite pour répondre a une nécessité humaine ne sont que pipi de chat au regard de ce que nous donne à voir la science dans la construction du vivant comme du cosmos et que notre conscience comme notre existence échappe à notre contrôle, certes pour une poignée de millisecondes mais y échappe.
La science ne tue pas Dieu, elle tue tous les rituels ancestraux qui ne sont plus de mise et qui n’ont jamais été un moyen d’accéder à dieu, ce n’est pas réciter des prières ou porter un voile qui permet de comprendre dieu si l’on est pas capable de traduire l’esprit de ceux qui ont sortie les humains de la superstition, si l’on n’est pas capable de traduire des paraboles et de les adaptés au réalité aujourd’hui. s’il fallait coupé la main des voleurs avant d’aller à la rencontre de dieu il n’y aurait que des manchots dans le paradis.
La science nous rapproche de ce que la pensé bouddhiste a de dieu mais ne lui donne pas un corps, car ils ne partent pas du principe de la genèse qui est une reprise de la création vu par Gilgamesh ou dieu fait l’homme à son image.
l’image n’est pas sotte car les humain avaient compris qu’il devaient vivre en complétude avec leur environnement dont il retiraient leur force. Nous retrouvons cela dans les trace laissé dans les grottes par l’art pariétal, donc bien avant la datation biblique du monde.
aujourd’hui la science est en mesure de démontrer que l’humain et la vie est fait de même matière que la cosmologie agencé est coalisé suivant l’attraction que l’on subit.
souvent je dit qu’un bout de matière dans un accélérateur de particule donnerait au bout rien d’observable, pareil pour l’humain, il deviendrait l’un est l’autre des paquets d’information.
j’ai développé cela en 1999 :

« ,,,,,,/Je considère donc, que les « Forces ou énergies ou flux » qui composent l’Univers, combinent toutes choses. Toutes choses de ce que nous sommes, et que nous créons, même si nous ne pouvons encore en définir certaines, et peut-être ne jamais accéder à l’indéfinissable.

 

En conséquence, en observant les lois que nous connaissons de cet univers, il est plus aisé de comprendre ce que nous sommes et faisons. Cet effort intellectuel consiste à s’observer, comme étant ces forces, étant dans ces forces, et étant le produit de ces forces, et non soumis à ces forces. D’une autre manière, si nous considérons que l’univers est de l’information, nous sommes cette information dans l’information, et produisant de l’information, et non seulement soumis à l’information.

La nuance est fondamentale car elle modifie l’image, la représentation que nous pouvons avoir de notre « monde cérébral » à partir du « monde sensible ». Parce que, au lieu d’y être soumis, qui peut être interprété comme une condition irréversible, nous serions sous condition de la connaissance de l’organisation de ces forces, de cette information. Nous serions un Être « conditionnel », conditionné à ce qu’il est capable d’en comprendre.,,,/ »

aujourd’hui la physique quantique s’interroge si l’essence de l’existence de toute chose ne serait pas de l’information. En cela il rejoignent ce que tu développes, ou dans la fin des temps soit l’explosion de notre planète nous reviendrons à l’état d’information qui circule sans but dans l’univers et donne la vie.
notre structure cérébrale est semblable et les émotions humaines ne varient que par leur intensité devant une situation en fonction de la culture que l’on a reçu, mais quand elle s’interroge sur son essence quel que soit la culture, elle en revient aux mêmes analyses, définit par justement leur culture. La science de la physique utilise le même langage mathématique il en ressort donc une unité de présentation, ce qui n’est pas le cas par le langage parlé qui varie suivant les cultures et utilisent des représentations différentes pour expliquer la même chose, et c’est normal nous n’avons pas des cerveaux différent seulement ce que nous y mettons dedans varie.

cordialement.


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