Les questions que vous posez sont intéressantes. Et elles renvoient à quelques autres.
La première : l’homo qui ne peut pas désirer quelqu’un de sexe opposé.
La deuxième : l’homo qui l’est devenu après avoir été hétéro et même avoir fait des gosses, preuve que tout « fonctionnait » bien et indice, je l’espère, qu’il y avait de l’amour entre les deux partenaires. Ce qui renvoie à...
La troisième : la question de l’infidélité, de l’adultère, que je soulève dans mon article. ça, ça vaut pour les hétéros, les hétéros « devenus » homos, ou les homos qui trompent leur ami/e.
Autant je peux avoir beaucoup de compréhension pour le premier cas, autant les autres me posent problème.
J’ajoute que les mariages homosexuels n’échapperont pas au divorce, comme les autres. Avec déjà, au départ, 3 parents minimum pour les gosses, ça va être la multiplication des « pains ».
J’ai eu beaucoup de débats avec des amis depuis cet article. Plus ça va, plus je trouve que le mariage homosexuel, où un enfant, sur son livret de famille, n’aura plus un père et une mère, même si, biologiquement, c’est incontournable, c’est de la péripatocéphalie : on marche sur la tête.