• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Stranac

sur Bosnie - Kosovo : Quand Allah s'en allait en guerre


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Stranac 17 novembre 2012 17:52

"ne plus payer l’impôt à l’occupant.« foutaise encore un a qui on a bourré le crane de connerie tu ne connais rien de la région ! Ta surement jamais entendu parler de  »l’église Bosniaque" qui était hérétique bogomile ? L’arrivée des Ottomans et de l’Islam était le moyen pour se défaire du catholicisme et de l’orthodoxie pour les bogomiles, tout aux long des Croisades contre les bogomiles, catholiques et orthodoxes ont persécuté les hérétiques, détruit les vestiges de leur culture et utilisé les monolithes en pierre en guise de matériau de construction pour leurs églises. Le bogomilisme disparaît de Bosnie avec la conquête ottomane du royaume bosniaque en 1463. Aux cours du 15ème siècle, principalement, les hérétiques se convertisse à l’islam. Concernant le passage du bogomilisme à l’islam, il est important de noter les grandes similitudes entre les pratiques mystiques soufies et cathares. Les bogomiles de France et d’Italie, quant à eux, se perdirent dans d’autres croyances ou furent anéantis par l’inquisition et les guerres de religions. Des stèles funéraires de dignitaires bogomiles bosniaques, datant du début du XVème siècle, sont rassemblées au Musée national à Sarajevo.

Un menteur en quoi ? les camps dont ils est question c’est pas des hôtels 5 étoiles pour ton infos 102 enfants tués, 256 femmes tuées, 3 173 civils disparus, 31 000 prisonniers dans les camps, 53 000 victimes de persécution et déportation, 28 condamnés pour des crimes de guerre. Un MENSONGE ? ou tout simplement du négationnisme de votre part...

Quand au livre (c’est pas du wikipedia ni du agoravox ou tout le monde peut se prétendre expert) :

Présentation de l’éditeur
Nombreux sont, depuis un siècle, en Europe, et en particulier en France, les chercheurs qui se sont intéressés au monde musulman. Pourtant, le message du Coran, la pensée islamique classique et contemporaine demeurent étrangement méconnus dans l’opinion publique occidentale. Celle-ci est tellement conditionnée par les contentieux historiques et par les raccourcis médiatiques de notre temps, qu’elle a peur de l’Islam, considéré encore, par beaucoup d’Européens, comme un " péril pour l’Occident ". Il est donc nécessaire qu’au-delà des malentendus et des préjugés, sources parfois de graves conflits, une meilleure connaissance mutuelle s’établisse et s’approfondisse entre les peuples des diverses civilisations et les croyants des diverses religions, autour de la Méditerranée et au-delà. A cet égard, la traduction en français de ce livre d’Alija Izetbegovic est un événement important. Il l’est, tout d’abord, à cause de la personnalité de l’auteur, dont on sait le rôle déterminant qu’il joua tout au long des tragiques événements que connurent les Balkans ces dernières années. En mai 1990, il devient le premier Président de Bosnie-Herzégovine. Mais Alija Izetbegovic n’est pas seulement un homme politique, il est aussi un penseur dont les analyses philosophiques et religieuses s’inscrivent dans la perspective du renouveau actuel, si méconnu chez nous, de la culture islamique, de Rabat au Caire et de Paris à Téhéran. Peut-être faut-il souligner aussi que cet effort est d’autant plus intéressant pour nous, Européens, qu’il nous arrive d’une région où l’islam côtoie, depuis longtemps déjà, le catholicisme et l’orthodoxie, comme c’est le cas désormais en de nombreux pays occidentaux. En lisant, dans cette perspective, le livre d’Izetbegovic et, en particulier, les pages dans lesquelles il évoque la place de la religion dans les sociétés, ses rapports avec la science, l’art et la morale, la place de l’individu dans la communauté, les relations entre le christianisme et l’islam, comment ne pas penser aux appels lancés, à maintes reprises, par Jean-Paul II en faveur d’une coopération confiante entre tous les croyants, pour promouvoir des valeurs éthiques communes Puisse ce livre répondre à l’appel du Pape à Casablanca, en 1985 : Le dialogue entre chrétiens et musulmans est aujourd’hui plus nécessaire que jamais.
Quatrième de couverture

"Nombreux sont, depuis un siècle, en Europe, et en particulier en France, les chercheurs qui se sont intéressés au monde musulman. Pourtant, le message du Coran, la pensée islamique classique et contemporaine demeurent étrangement méconnus dans l’opinion publique occidentale. Celle-ci est tellement conditionnée par les contentieux historiques et par les raccourcis médiatiques de notre temps, qu’elle a peur de l’Islam, considéré encore, par beaucoup d’Européens, comme un «  péril pour l’Occident ».

Il est donc nécessaire qu’au-delà des malentendus et des préjugés, sources parfois de graves conflits, une meilleure connaissance mutuelle s’établisse et s’approfondisse entre les peuples des diverses civilisations et les croyants des diverses religions, autour de la Méditerranée et au-delà. A cet égard, la traduction en français de ce livre d’Alija Izetbegovic est un événement important.

Il l’est, tout d’abord, à cause de la personnalité de l’auteur, dont on sait le rôle déterminant qu’il joua tout au long des tragiques événements que connurent les Balkans ces dernières années. En mai 1990, il devient le premier Président de Bosnie-Herzégovine.

Mais Alija Izetbegovic n’est pas seulement un homme politique, il est aussi un penseur dont les analyses philosophiques et religieuses s’inscrivent dans la perspective du renouveau actuel, si méconnu chez nous, de la culture islamique, de Rabat au Caire et de Paris à Téhéran. Peut-être faut-il souligner aussi que cet effort est d’autant plus intéressant pour nous, Européens, qu’il nous arrive d’une région où l’islam côtoie, depuis longtemps déjà, le catholicisme et l’orthodoxie, comme c’est le cas désormais en de nombreux pays occidentaux.

En lisant, dans cette perspective, le livre d’Izetbegovic et, en particulier, les pages dans lesquelles il évoque la place de la religion dans les sociétés, ses rapports avec la science, l’art et la morale, la place de l’individu dans la communauté, les relations entre le christianisme et l’islam, comment ne pas penser aux appels lancés, à maintes reprises, par Jean-Paul II en faveur d’une coopération confiante entre tous les croyants, pour promouvoir des valeurs éthiques communes ?

Puisse ce livre répondre à l’appel du Pape à Casablanca, en 1985 : "Le dialogue entre chrétiens et musulmans est aujourd’hui plus nécessaire que jamais".

http://www.amazon.fr/LIslam-entre-lOuest-Alija-Izetbegovic/dp/2868398480

Ils est préférable de croire les serbes et leurs traditionnelles mensonges dont le père de la nation serbe Dobrica Cosic traduit en-quelque ligne dans un de c’est bouquin : ’ le mensonge et la vertus suprême du peuple serbe.. "

The Father of the Serbian Nation Dobrica Cosic considers the ability to lie and lying to be the highest morale virtue of the Serbian people and the foundation of Serbian pride.
Here is a direct quote by Dobrica Cosic : ’’Lying is the highest virtue of the Serbian people.’’
Dobrica Cosic continues and says : ’’We lie to deceive ourselves, to console others, we lie for mercy, we lie to fight fear, to encourage ourselves, to hide our and somebody else’s misery. Lying is a trait of our patriotism and the proof of our innate intelligence. We lie creatively, imaginatively and inventively.’ smiley


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès