A voir : la belle étude de MARILLEAU Mélanie et VACHER Jennifer sur l’HOMOPARENTALITE !
http://www.unilim.fr/sceduc/IMG/pdf/homoparentalite.pdf
"De récentes enquêtes publiées dans Pediatrics in review n°15, montrent
que le désir
d’enfant chez les homosexuels est souvent plus mûrement réfléchit que
chez les hétérosexuels.
Effectivement Les enfants de parents gays ou lesbiens encourent moins de
risques d’être
victime d’abus sexuel ou physique de la part de leurs parents.
Les spécialistes insistent sur le fait que l’enfant a besoin d’un
référant homme et d’un référant
femme, la crainte étant que l’enfant ne côtoie exclusivement que la
gente masculine ou
féminine.
Premièrement, il est évident que les couples homosexuels ont aussi des
relations avec leur
famille et/ou des ami(e) s où l’enfant pourra côtoyer d’autres
référents.
Deuxièmement, ce n’est pas uniquement de la différence homme femme dont
l’enfant a besoin
mais aussi d’un équilibre dans les rôles (ex : amour/autorité).
Il faut aussi savoir qu’une majorité de couples homo parentaux sont en
fait des couples co-parentaux où l’enfant a une maman, un papa, l’amie
de la maman et l’ami du papa.
L’enfant sait comme les autres, qu’il est né d’un homme et d’une femme. (...)
La crainte que l’enfant devienne à son tour homosexuel est tout à fait infondée, en effet les
études démontrent qu’il y a le même pourcentage d’enfants homosexuels dans les familles
homo parentales que dans les familles « conventionnelles », soit environ 5 à 8%.
Les scientifiques s’accordent à dire que l’homosexualité n’est liée ni à l’hérédité ni a
l’éducation. Face à l’argument du référant vient une question : interdit t’on la garde aux parents
où le père ou la mère élève seul(e) son enfant suite a un décès, un divorce, ou a la non
reconnaissance de l’enfant par un des partenaires ? N’est ce pas plus difficile pour l’enfant que d’avoir des parents homosexuels mais qui sont présents et qui s’aiment ?"
Voilà c’est dit, et bien dit !