@Luxum, cette question est fondamentale.
C’est ce qui explique pourquoi certains enfants des couples homos fantasmes justement sur ce géniteur « réel ». Les enfants arrivent assez rapidement à comprendre (vers 3 / 4 ans) que ce géniteur est absent du couple de même sexe. Une observation d’un cas dans la littérature scientifique :
Saakvitne
(1998) et Eisold
(1998) ont soutenu une discussion [contradictoire] à propos du
cas d’étude suivant. Il s’agit d’un cas d’étude qui présente un fils de parents
gays qui identifie l’employée de maison comme sa mère. L’enfant croit que les
mères sont « embauchées et licenciées ». L’enfant souffre psychologiquement après
le renvoi de l’assistante pour s’être insérée émotionnellement dans la vie de
l’enfant, et en plus l’arrivée à la maison d’un autre frère adopté. Vue la
situation, le couple homosexuel décide de lui faire suivre une thérapie. Le
thérapeute découvre que l’enfant amassait de l’argent depuis quelque temps, en
pensant que s’il en réunissait suffisamment, il pourrait, selon ses propres
mots, « acheter une autre maman ». A la vue du cas, Eisold conclut que les enfants
se développent mieux dans des foyers avec un père et une mère, et que telle
nécessité ne provient pas d’une imposition sociale, mais d’un impératif
biologique, puisque personne n’a appris à l’enfant à avoir besoin d’une mère –
c’est plutôt le contraire – et cependant, celui-ci l’identifie chez
l’assistante et ressent la nécessité d’en avoir une. http://www.narth.com/docs/diversity.html
Les intégristes LGBT nient le complexe d’Oedipe et le tour est joué !
Certains couples homos évitent les consultations psychologie « tout venant é quand il parçoivent chez leur » enfant « des dysfonctionnements pouvant mettre en cause leur choix d’élever l’enfant en couple de même sexe. Ils s’adressent plutôt à des » psychologues ami(e)s" ne remettant pas en cause leur choix.