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Commentaire de L’immigré

sur Quel avenir pour l'UMP ? Quel avenir pour la France ?


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L’immigré 27 novembre 2012 18:14

« Acharnez vous », « Je ne veux défendre que les causes perdues pas les crapauds baveux. »
Oh ! Le pauvre chéri, il pleure pour une chiquenaude ! Qu’est-ce que ça va être quand on vous traitera de « pauv’ con » (sic) ?
Je devrais vous blâmer, mais, finalement, vous êtes à plaindre. Pire, vos futurs clients sont à plaindre. Mon orthographe ne vous choque pas trop, j’espère, parce que d’habitude un immigré ce n’est pas instruit... C’est ce qu’on dit en France.

À propos de « causes perdues », cela vous ennuierait-il d’éviter de prendre les lecteurs pour des imbéciles, monsieur ?
Je vais vous en donner des causes perdues : l’immigré en situation irrégulière
‒les sans-papiers, quoi !‒ (toujours sans droits dans beaucoup de cas : logement, travail, etc.), les bohémiens non sédentaires ‒les Roms, quoi !‒ (souvent des Français amalgamés à des malfaiteurs). Personne ne leur fait de cadeau (qu’ils aient tort ou non n’est pas le sujet de cette discussion). Allez-vous faire croire à tous les lecteurs que vous défendriez ces personnes indéfendables ‒le mépris des Français est visible‒ devant un tribunal tel un preux chevalier volant au secours de la veuve et l’orphelin ? Laissez-moi rire, monsieur l’étudiant. Êtes-vous au moins au courant que ce sont des êtres humains comme le sont les Français, au pays des droits de la personne humaine qu’est la France ?

Vous dites : « je ne suis pas affilié à l’UMP » ?
Ah ? Parce qu’en plus il faudrait être affilié à un parti pour le soutenir ? C’est nouveau ça ! Qu’est-ce qu’il ne faut pas lire chez des gens comme vous. Et, vous croyez pouvoir défendre des causes de cette façon et avec une telle vision ? Permettez-moi d’en douter.
Que vous méprisiez les immigrés sans le dire ‒il faut vraiment être bête pour ne pas voir que la droite les méprise, sans le dire‒, je puis vous comprendre : je ne sais faire qu’incendier les voitures. Mais, par pitié, faites marcher votre cervelle !

Encore une fois, sans rancune, hein !


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