sur la fin du capitalisme de connivence, je vous laisse vérifier par vous même ce que disent les libéraux :
Le processus d’attribution des aides favorisera par ailleurs les groupes les plus puissants, proches du pouvoir ou au lobbying performant. En effet, chaque ministre joue de son influence pour montrer ses capacités d’action et répondre aux sollicitations de ses réseaux. L’un réclame une centrale nucléaire de 4ème génération, l’autre la construction de nouvelles prisons. Le capitalisme de connivence promet d’être le moteur du deuxième plan de relance.
Parti LIbéral Démocrate
GRAND EMPRUNT, UNE SI BONNE IDÉE ?
Le ministre allemand de l’Économie et président du Parti libéral démocrate (FDP), Philipp Rösler, appelle à une faillite ordonnée du pays,
USA : un (bon) plan pour en finir avec les banques « Too Big To Fail »
Dans cette crise qui secoue le monde développé, il faudrait garder une chose en tête : à droite comme à gauche, on se bat contre le même monstre. Je parle du capitalisme de copinage. Pro et anti-business ont conspiré pour décider qui allait jouer le rôle de la vache à traire : le contribuable
La crise va permettre au mouvement Alternative Libérale de se démarquer avec beaucoup plus de force de l’UMP dont il dénonce aujourd’hui l’interventionnisme tous azimuts, que ce soit sur le plan économique ou dans la façon dont la vie des citoyens est en train d’être placée sous contrôle.
Le tandem Bachelot-Dambreville sera aussi amené à dénoncer le « capitalisme de connivence » d’Ernest-Antoine Seillière, dont certains dénoncent sa conversion à l’Etat Providence. Pour démontrer que leur mouvement est le seul vrai porteur, aujourd’hui des idéaux libéraux.
http://bachelot.hautetfort.com/archives/category/dans_les_medias/index-8.html/