bonjour marcus
madame parisot vhéicule comme beaucoup de monde de part celui-ci un libéralisme éculé datant du 17e siècle qui a été fondateur de l’économie capitaliste avec le développement de l’industrialisation, qui n’était fait en son temps que pour les nantis propriétaire ou commerçant et ne concernait pas les travailleurs en servitudes dans une organisation monarchique toute puissante.
la révolution et la démocratie en reprenant la philosophie de certain philosophe ont étendu ce principe au peuple, par le droit de vote, (général en1944). par les droits de l’homme l’individu peut disposer d’une propriété, mais et c’est là la confusion il n’a jamais été dit que le libéralisme emportait le droit d’exploiter l’autre, puisque il est interdit de nuire à autrui sous une quelconque forme.
il en découle forcément que le droit à la propriété ne peut se substituer au bien être d’autrui et aboutir à la dépendance et servitude des uns vis a vis des autres.
Qui sont les régulateurs de tout cela, les citoyens eux mêmes, car leur territoire est inaliénable et ne peut être cédé sans leur accord, qu’en fait les propriétaires économiques des moyens de production ou ’un biens se trouve donc limité suivant les circonstance par l’intérêt général, et ne sont que locataire des sols, dont ils peuvent être dépossédé par une DUP
il y a un parallèle amusant, le droit des SA par la mise en place d’action et coupons ouvrent droit à une fraction de la propriété qui les a émis, ensuite il est admis que suivant les circonstance les entreprises puisent faire des OPA, et bien la nationalisation n’est purement et simplement qu’une OPA publique, il ne lui manquerait qu’a émettre un titre de propriété pour chaque citoyen. L’’état c’est a dire les citoyens peuvent même déposséder un de tous ses biens sans défraiement suivant des circonstances, c’est le droit de la force publique qui est, tous les citoyens contre un. Tout ceci est organisé par des codes législatifs et réglementaires dont la finalité est la liberté l’égalité et la fraternité.
l’état (les citoyens) n’a pas à se comporter comme une monarchie, ni une dictature, mais veiller à l’intérêt de chacun tant que celui ci n’entrave pas celui des autres.
il semble que l’inculture citoyenne qui se développe de plus en plus ait laisser le pouvoir idéologique et financier à des particuliers dont le souci de l’intérêt collectif n’est que collatéral.
cordialement
ddacoudre.over-blog.com
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