Mais,
quelle horreur ! Cette si belle langue française maltraité par
un malotru, c’est une offense faite à Molière et Victor Hugo
et par un prétendu « vrai » Français, par-dessus le
marché.
L’expression « syntaxe chaotique »
est un bel euphémisme ! Exemple : « cela
qui nous départageraS [troisième
personne du singulier, donc pas de « S », niveau
école primaire, monsieur]
mais » [premier paragraphe déjà !]. Je
vous épargne le reste...
Veuillez
cesser d’insulter vos propres compatriotes les expatriés ! Je
vous cite : « au chaud qu’à
[c’est une préposition,
monsieur] servir leurs [le
substantif est au pluriel, monsieur] frères [c’est-à-dire,
les Français qui résident hors de France depuis des années]
qu’ils abandonnent lâchement » Eh, Oui ! Les
expatriés français sont partout dans le monde ! Ils vous ont
abandonnés « lâchement » comme vous dites !
Je dirais plutôt qu’ils n’étaient pas assez stupides pour
supporter un individu qui n’est jamais sorti de son village de
Gaulois, ouais !
En effet, au vu de votre niveau en français
qui trahit indubitablement votre niveau intellectuel, les
« parasites » comme vous ont vraiment intérêt à
« voir leur hôte [la
France] affaibli [pas
de pluriel, monsieur] ». Je ne l’aurais pas
mieux dit moi-même. Merci beaucoup !
Parce
que vous êtes une insulte à vos propres compatriotes,
veuillez je vous prie vous abaisser à votre niveau : la
vulgarité et la grossièreté. La vulgarité et la grossièreté
vous siéent tellement que même Marine LE PEN, la Mal-aimée,
n’aurait que mépris pour vous ! Soyez vous-même : ne
vous cachez pas derrière le paravent de la vertu en tentant de
manipuler si maladroitement cette langue si chère à vos yeux. Cette
langue qui m’est si étrangère est respectée par ma petite
personne.
Chaque
fois que vous vous trouverez sur mon chemin, je ne manquerais pas de
vous rappeler ce que vous êtes : un parasite vulgaire et
grossier.
Votre
usine et votre patron doivent être fiers d’avoir un si merveilleux
collaborateur tel que vous. Saluez-les de ma part. Compétitivité,
quand tu nous tiens !
Soyez
chevaleresque une fois dans votre vie : épargnez les dames de
votre langage de caniveau !
Faites-nous l’honneur de ne
jamais nous inviter en votre si belle demeure. Vous nous offenseriez.
Je
ne vous salue point, monsieur.