mon cher l’immigré , que de bouffissures, que de redondance dans vos blablas. Votre verbiage ne dissimulera pas votre trahison envers les vôtres. Car qu’est ce d’autre que votre présence ici ? Vous vantez en filigrane quelques parts votre cursus grand bien vous fasse mais ne serait il pas plus utile
dans le pays de vos pères participant a son développement et évitant ainsi aux vôtres de venir souvent au péril de leur vie me disputer les quelques derniers emplois industrieux survivants à la mondialisation. Quand au village gaulois l’ayant quitté fort longtemps j’ai pu observer dans vos
contrées le comportements de quelques éduqués de votre acabit .Dont l’aptitude à singer ceux qu’ils conchient n’a d’égale que la souplesse de leur échine pour se gagner un confort les rendant oublieux de leur solidarité nationale .Vous pourrez faire la roue tel un paon maquiller votre fuite
sous le vernis culturel la nature vous ayant fait coucou ,tel vous resterez .Rassurez vous pour l’usage de la langue à vous lire l’on comprend bien que faute de répondre sur le fond il ne vous reste que la forme que vous ressassez tel un singe savant il est un adage qui dit que « le frais converti joue les zélotes pour faire oublier ce qu’il es réellement »quand références à Molière ou autres quand on connaît la complaisance de nombres des votre pour le moyen âge on s’étonne de vos référence au siècle des Lumières. Laissez moi vous rassurer pour Madame Le Pen je la goute fort peu en effet je pense qu’elle procède elle aussi de cette « démocrasouille « laissant prosperer chancres et parasistes sur ce sol.
Asinus:ne varietur