De « L’immigré », le 12 décembre à 6h45 :
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@les trolls (RBEYEUR et Deneb) :
1‒ Personne ne s’intéresse à ce que vous écrivez : les signes négatifs que vous ramassez parlent d’eux-mêmes malgré vos phrases pourtant, apparemment, sans gros mots ni insultes et sans vulgarité. Peut-être seriez-vous connus pour être d’une vulgarité caractérisée ? Je ne le pense pas.
2‒ Parce que vos raisonnements ont été cassés ‒la preuve : on attend toujours vos arguments scientifiques‒, il fallait que vous me cherchiez des poux dans la tête.
3‒ Je ne manquerai pas de vous rappeler qui vous êtes, comme ci-dessus mentionné, chaque fois que vous vous trouverez sur mon chemin. Les lecteurs ont le droit d’être informés sur votre mentalité de troll.
4‒ You’ll never be needed on this earth, only wise people are needed. Try to grow up before posting ! Shame on you !... ».
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Ce baragouin dont le nébuleux et l’inintelligible constituent par eux-mêmes une réponse tout à fait explicite, ne nécessite, par conséquent, aucune réplique...
Mais il est toutefois intéressant de dire deux mots sur une insertion platronnante et infatuée d’anglicismes, dans les différentes communications de « L’immigré », destinée à masquer certaines insuffisances par de la poudre aux yeux ….
Dans cet esprit, il est regrettable que cette simplette démonstration d’impuissance culturelle plonge « L’immigré » dans le reniement de l’image qu’il prétend donner de lui-même.
C’est ainsi que paradant le verbiage anglo-saxon qui est le vecteur culturel planétaire de « l’empire », il renie par là même ses ancêtres qui furent enchainés comme des sous-animaux par ce même « empire », se targuant, se glorifiant et se magnifiant de la linguistique dominatrice de ce dernier.
Mais « l’empire » étant supplanté en Afrique par la Chine, l’Inde et le Brésil, dans une certaine forme d’esclavage économique, gageons que nous verrons bientôt évoluer la linguistique des communications de « L’immigré » par une substitution progressive du mandarin, du hindi et du portugais à l’anglais…