excellent ce rappel !!
« Un scénario digne de James Bond. L’histoire commence en 2008, lorsqu’un ancien employé de la banque suisse HSBC s’enfuit avec, dans ses bagages, un listing contenant des noms de clients de l’établissement. Elle se poursuit au Liban, à Nice, à Paris pour rebondir avec fracas à Athènes. Retour sur une affaire qui n’a pas fini de faire parler d’elle. »
• 9 décembre 2009 : Eric Woerth, alors ministre du Budget, ainsi que Christine Lagarde, à l’époque ministre française de l’Economie, reconnaissent que certains des noms des 3.000 contribuables français invités à régulariser leur situation ont bien été fournis ou confirmés grâce à un document qui a atterri entre les mains des services fiscaux. Il s’agirait de ce listing obtenu par le fameux “Hervé“ dont l’existence est révélée au public par le Parisien.
• 17 décembre 2009 : Parce que la France a utilisé les données volées à la banque HSBC, le gouvernement fédéral suisse décide de geler la ratification d’une convention fiscale. La brouille se calme en janvier 2010 à l’issue du forum de Davos au cours duquel Nicolas Sarkozy ainsi que Christine Lagarde et Eric Woerth ont rencontré le chef du département fédéral suisse des Finances.
• Avril 2010 : Selon le parquet de Nice, la liste HSBC contiendrait en tout 172.000 comptesdétenus par 79.000 personnes dont 8.230 Français
avec des cadavres aussi !!
• Début octobre 2012 : L’existence d’une liste de 2.000 noms de grecs soupçonnés de fraude fiscale est révélée au public. Certains font l’objet de “fuites“. Deux hommes sont retrouvés morts. Il s’agit de Vlassis Kambouroglou, riche homme d’affaires hellène et de Leonidas Tzanis, dont le corps est découvert à Jakarta, en Indonésie. Cet ancien député socialiste grec qui faisait l’objet d’une enquête a été retrouvé pendu. Pour l’heure, les enquêteurs parlent de suicide. D’après la presse grecque, leurs noms figuraient sur la liste.
et bingo le bidule original a disparu depuis !
résultat la France l’avait gardé... sans la montrer : cachoteries va !