La théorie physique du champ unifié décrit l’unité
morphologique de base qui structure la
quasi totalité de la réalité qui nous entoure à savoir l’espace. De tout
temps la science physique a fixé son étude exclusive sur la matière
environnante en laissant de côté l’espace prétendument vide qui l’environne et
qui représente pourtant 99.99999% de ce qui est. Pour exemple le volume d’un
atome, que l’on considère comme une brique de base dans la construction
« solide » apparente, est définit par la rotation à l’échelle de la
vitesse de la lumière d’un certain nombre d’électrons infimes autour d’un noyau
presque aussi inexistant. A la manière d’une hélice d’avion qui tourne
rapidement le mouvement définit un volume essentiellement creux ! L’infiniment grand comme l’infiniment petit
sont de même nature et caractérisés par l’espace et qui plus est comme démontré
par la théorie physique du champ unifié
par un espace extrêmement dense, en mouvement de doubles rotations spiralées
superposées et inverses.
Dans une démonstration unificatrice révolutionnaire des
physiques quantique et relativiste, le
physicien Nassim Haramein décèle les portes d’un savoir plus qu’ancestral qui ouvre des perspectives infinies dans la
réalité finie qui est la notre. La possibilité démultiplicatrice d’une
structure fractale qui structure le « vide » répond à ce principe :
l’infini des détails dans la finitude de la forme. Elle se déploie sur
elle-même à mesure qu’elle plonge en spirale dans les abysses infimes de
l’échelle du quark. C’est la découverte géométrique de cette structure de base
associée à celle d’un mouvement de
double tores inversés qui rend les travaux du physicien Nassim Haramein uniques,
novateurs et unifiant pour tous les
champs des la physique contemporaine. Comme le prévoyait déjà les équations de
physique quantique, l’énergie contenue
dans le vide tend vers l’infini, ce qui correspond aux caractéristiques déjà connues
d’un trou noir. La création de la matière visible (vitesse vibratoire
inférieure ou égale à celle de la lumière) est expulsée depuis le centre de ce
double vortex dans le champ électromagnétique qui caractérise notre univers tandis que son double corrélé est expulsé de façon synchrone dans
le champ informationnel invisible (vitesse
supérieure ou égale à celle de la lumière), les deux faces de la création étant
à jamais liées instantanément par cet équilibre générateur. L’astrophysique
vient de confirmer la présence d’un trou noir au centre de chaque galaxie
observable. La matière visible est donc une émanation de l’énergie du vide inversement
corrélée à son double informationnel. L’expansion de l’univers visible a pour
pendant la contraction du champ informationnel. Ce processus de double création
explique en particulier les interactions instantanées constatées mais encore
inexplicables en physique relativiste entre deux particules co-crées quelque
soit la distance qui les sépare avec une
vitesse de communication excédant celle de la lumière.
La récente publication de Nassim Haramein « Le Proton
Schwarzschild » (qui a reçu le prestigieux prix « Best Paper Award » dans le
domaine de la physique, la mécanique quantique, la relativité, la théorie des
champs, et la gravitation à l’Université de Liège, en Belgique au cours de la
9e Conférence internationale CASYS’09 ), pose les bases de ce qui pourrait être
un changement fondamental dans notre compréhension actuelle de la physique, de
l’astronomie, de la vie, de la médecine et de la nature de la conscience.
Le cubohectaèdre est la
géométrie de base, la forme d’équilibre qui structure l’espace entre la
formidable puissance d’absorption d’un trou noir (champ gravitationnel) et
l’expansion de l’univers réalisé (champ électromagnétique). Le double vortex enchâssé dans la structure
géométrique du cubohectaèdre est la dynamique de l’espace dont l’énergie est
infinie et qui se comporte comme un super fluide, à la fois lien omniprésent et
source de tout ce qui est. Vous pouvez vous faire une idée de ce double vortex en
visualisant le mouvement des masses d’air à la surface de notre planète où les
rotations se font dans un sens dans l’hémisphère Nord et dans l’autre dans l’hémisphère
Sud. Ce double mouvement inversé et
superposé établit de façon synchrone la création de l’univers visible d’une
part (le côté radiatif, le champ électromagnétique) et le feed back informationnel
d’autre part (le côté contractif, le champ gravitationnel). Ce double tore est
présent en toute chose, de la galaxie au quark en passant par les êtres
vivants. C’est ce double mouvement de création et de feed back informationnel,
intimement corrélé, qui permet la conscience qui ne peut être, par nature, que
réflexive. La conscience n’est donc pas
un épiphénomène mais découle de la nature même du processus de création de la
réalité à partir de l’énergie infinie du « vide ». Comme cet espace
que l’on qualifie faussement de « vide » représente 99.99999% du tout, cette
énergie est partout, en toute chose, en tout être et disponible de façon
illimitée.
La question est maintenant de savoir si nous accepterons
individuellement puis collectivement d’approfondir et de faire notre cette
connaissance unificatrice qui rend stérile et autodestructrice toute
accaparation individuelle ou collective d’énergie. La générosité de la
puissance infinie est la règle établie dans la création alors que la captation
individuelle renseigne l’univers sur la peur du manque et la volonté de
domination, d’asservissement. Cette captation induit l’autodestruction car le tout étant
unifié, il n’est rien d’autre que Soi à asservir et à dominer et donc in fine à
détruire. Les fausses croyances dans le manque, la crise, la pénurie,
entretenues par une minorité névrotique paniquée par la peur de perdre leur
autorité, leur pouvoir sur le plus grand nombre et le corolaire papier de ce pouvoir :
l’argent, ces fausses croyances doivent donc être transcendées en de nouvelles
qui intègrent ces données scientifiques d’abondance infinie et d’unité qui nous
rendent tous solidaires et co-créateurs.
Les divisions sociales, culturelles et religieuses
sont les cancers fabriqués qui permettent aux tyrans dominants de maintenir leurs
mains mises en masquant la vérité de la créativité propre à chacun et à tous.
La conscience encore
une fois n’est donc pas un épiphénomène, elle est la nature même de tout ce qui
est de part l’équilibre permanent création/information de ces doubles tores qui
sont omniprésents et cela à toutes les échelles de la fractale. Le cerveau humain
n’est qu’un capteur de cette conscience de base tout comme une radio est un
capteur et une mise en son de la longueur d’onde radio où a été encodée
l’information. Notre fonction est donc d’affiner cette perception pour rester
en harmonie avec l’intention de la source. Dans le flux infini en expansion, la
nage à contre courant est suicidaire. Notre participation individuelle active
doit aller dans le sens d’une symbiose collaborative avec le modèle universel
enfin dévoilé. Cette symbiose
coopérative est l’avenir radieux de l’humanité si elle souhaite en avoir un.