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Commentaire de Erik Gruchet

sur Sortie de crise


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Erik Gruchet 19 décembre 2012 14:00

La théorie physique du champ unifié décrit l’unité morphologique de base qui structure la quasi totalité de la réalité qui nous entoure à savoir l’espace. De tout temps la science physique a fixé son étude exclusive sur la matière environnante en laissant de côté l’espace prétendument vide qui l’environne et qui représente pourtant 99.99999% de ce qui est. Pour exemple le volume d’un atome, que l’on considère comme une brique de base dans la construction « solide » apparente, est définit par la rotation à l’échelle de la vitesse de la lumière d’un certain nombre d’électrons infimes autour d’un noyau presque aussi inexistant. A la manière d’une hélice d’avion qui tourne rapidement le mouvement définit un volume essentiellement creux !  L’infiniment grand comme l’infiniment petit sont de même nature et caractérisés par l’espace et qui plus est comme démontré  par la théorie physique du champ unifié par un espace extrêmement dense, en mouvement de doubles rotations spiralées superposées et inverses.

Dans une démonstration unificatrice révolutionnaire des physiques quantique et relativiste, le physicien Nassim Haramein décèle les portes d’un savoir plus qu’ancestral qui ouvre des perspectives infinies dans la réalité finie qui est la notre. La possibilité démultiplicatrice d’une structure fractale qui structure le « vide » répond à ce principe : l’infini des détails dans la finitude de la forme. Elle se déploie sur elle-même à mesure qu’elle plonge en spirale dans les abysses infimes de l’échelle du quark. C’est la découverte géométrique de cette structure de base associée à celle  d’un mouvement de double tores inversés qui rend les travaux du physicien Nassim Haramein uniques, novateurs et unifiant  pour tous les champs des la physique contemporaine. Comme le prévoyait déjà les équations de physique quantique, l’énergie contenue dans le vide tend vers l’infini, ce qui correspond aux caractéristiques déjà connues d’un trou noir. La création de la matière visible (vitesse vibratoire inférieure ou égale à celle de la lumière) est expulsée depuis le centre de ce double vortex dans le champ électromagnétique qui caractérise notre univers  tandis que son double corrélé est expulsé de façon synchrone dans le champ informationnel  invisible (vitesse supérieure ou égale à celle de la lumière), les deux faces de la création étant à jamais liées instantanément par cet équilibre générateur. L’astrophysique vient de confirmer la présence d’un trou noir au centre de chaque galaxie observable. La matière visible est donc une émanation de l’énergie du vide inversement corrélée à son double informationnel. L’expansion de l’univers visible a pour pendant la contraction du champ informationnel. Ce processus de double création explique en particulier les interactions instantanées constatées mais encore inexplicables en physique relativiste entre deux particules co-crées quelque soit la distance qui les sépare  avec une vitesse de communication excédant celle de la lumière.

La récente publication de Nassim Haramein « Le Proton Schwarzschild » (qui a reçu le prestigieux prix « Best Paper Award » dans le domaine de la physique, la mécanique quantique, la relativité, la théorie des champs, et la gravitation à l’Université de Liège, en Belgique au cours de la 9e Conférence internationale CASYS’09 ), pose les bases de ce qui pourrait être un changement fondamental dans notre compréhension actuelle de la physique, de l’astronomie, de la vie, de la médecine et de la nature de la conscience.

 Le cubohectaèdre est la géométrie de base, la forme d’équilibre qui structure l’espace entre la formidable puissance d’absorption d’un trou noir (champ gravitationnel) et l’expansion de l’univers réalisé (champ électromagnétique).  Le double vortex enchâssé dans la structure géométrique du cubohectaèdre est la dynamique de l’espace dont l’énergie est infinie et qui se comporte comme un super fluide, à la fois lien omniprésent et source de tout ce qui est. Vous pouvez vous faire une idée de ce double vortex en visualisant le mouvement des masses d’air à la surface de notre planète où les rotations se font dans un sens dans l’hémisphère Nord et dans l’autre dans l’hémisphère Sud.  Ce double mouvement inversé et superposé établit de façon synchrone la création de l’univers visible d’une part (le côté radiatif, le champ électromagnétique) et le feed back informationnel d’autre part (le côté contractif, le champ gravitationnel). Ce double tore est présent en toute chose, de la galaxie au quark en passant par les êtres vivants. C’est ce double mouvement de création et de feed back informationnel, intimement corrélé, qui permet la conscience qui ne peut être, par nature, que réflexive.  La conscience n’est donc pas un épiphénomène mais découle de la nature même du processus de création de la réalité à partir de l’énergie infinie du « vide ». Comme cet espace que l’on qualifie faussement de « vide » représente 99.99999% du tout, cette énergie est partout, en toute chose, en tout être et disponible de façon illimitée.

La question est maintenant de savoir si nous accepterons individuellement puis collectivement d’approfondir et de faire notre cette connaissance unificatrice qui rend stérile et autodestructrice toute accaparation individuelle ou collective d’énergie. La générosité de la puissance infinie est la règle établie dans la création alors que la captation individuelle renseigne l’univers sur la peur du manque et la volonté de domination, d’asservissement. Cette captation  induit l’autodestruction car le tout étant unifié, il n’est rien d’autre que Soi à asservir et à dominer et donc in fine à détruire. Les fausses croyances dans le manque, la crise, la pénurie, entretenues par une minorité névrotique paniquée par la peur de perdre leur autorité, leur pouvoir sur le plus grand nombre et le corolaire papier de ce pouvoir : l’argent, ces fausses croyances doivent donc être transcendées en de nouvelles qui intègrent ces données scientifiques d’abondance infinie et d’unité qui nous rendent  tous solidaires et co-créateurs.  Les divisions sociales, culturelles et religieuses sont les cancers fabriqués qui permettent aux tyrans dominants de maintenir leurs mains mises en masquant la vérité de la créativité propre à chacun et à tous.

 La conscience encore une fois n’est donc pas un épiphénomène, elle est la nature même de tout ce qui est de part l’équilibre permanent création/information de ces doubles tores qui sont omniprésents et cela à toutes les échelles de la fractale. Le cerveau humain n’est qu’un capteur de cette conscience de base tout comme une radio est un capteur et une mise en son de la longueur d’onde radio où a été encodée l’information. Notre fonction est donc d’affiner cette perception pour rester en harmonie avec l’intention de la source. Dans le flux infini en expansion, la nage à contre courant est suicidaire. Notre participation individuelle active doit aller dans le sens d’une symbiose collaborative avec le modèle universel enfin dévoilé. Cette symbiose coopérative est l’avenir radieux de l’humanité si elle souhaite en avoir un.


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