Sortie de crise
Nous observons dans l’atome un noyau et des électrons qui tournoient autour de lui à des vitesses approchant celle de la lumière avec une durée de vie de milliards de milliards d’année sans jamais refaire le plein !
Le physicien américain Nassim Haramein démontre dans sa théorie du champ unifié que la source infinie de cette énergie vient de la densité de l’espace qui contrairement aux apparences n’est pas vide mais infiniment dense ( 10 puissance 93 grammes par centimètre cube : chiffre « normalisé » pour le besoin des équations car en réalité infini !). Cette densité extraordinaire lui confère plus que largement les propriétés d’absorption d’un « trou noir » et lui donne son apparence « vide ». A ce niveau énergétique même la lumière ne saurait s’en échapper. Le vide serait le champ infiniment dense de tous les potentiels, l’océan indéterminé qui relie tout par l’étendu de son omni présence.
La création de matière nait d’une vibration continue énergétiquement équivalente à celle de ce champ mais inversement polarisée. En effet, dans l’univers crée que nous observons, à toute action correspond une réaction opposée et équivalente : c’est la cause de l’équilibre nécessaire à tout ce qui est. C’est depuis le point focal de jonction entre ces deux formidables forces équilibrées qu’est expulsée en permanence toute matière. Nassim Haramein symbolise ce mouvement permanent générateur de toute création par un double tore inversé ( deux sphères intégrées et en rotation inverse) au centre duquel est produite la singularité. On retrouve ce dessin stylisé dans le symbole mathématique de l’infini, ce 8 allongé : double boucle avec un point de jonction. Sa théorie associe le champ gravitationnel à la formidable puissance contractive de l’énergie du vide et le champ électromagnétique à son équivalence émissive à polarité inverse. De part le mécanisme de cette genèse, tout ce qui est crée porte en lui la marque de ces deux faces énergétiques. Le corps humain incarne clairement cette symétrie en miroir, la circulation des masses d’air dessine les deux hémisphères de notre planète, chaque brin d’herbe s’ouvre à partir de son axe médian.
La bonne nouvelle qui découle de ce processus concerne le niveau énergétique incommensurable mis en œuvre en tout point de la création. L’équivalence, l’équilibre, la symétrie du système induit l’éternité comme mesure de sa durabilité. Dans l’infiniment grand comme dans l’infiniment petit, en passant par le monde biologique médian, tout procède du même équilibre énergétique bipolaire. C’est la fractalisation du modèle qui permet ce tour de magie à tous les étages. Le point de singularité au cœur de ce mécanisme est situé pour chaque parcelle, pour chaque individu ou pour chaque univers créés en un lieu différent de l’espace/temps offrant au tout la multiplicité infinie des « points de vue ». La nature et les caractéristiques énergétiques communes à l’ensemble de la création fait de chaque point de singularité un vortex de connexion instantané, un pont reliant tout et chacun. A toutes les échelles de la fractale, par ce centre, l’échange permanent se produit.
Il résulte de tout ceci un certain nombre de conclusions à savoir :
- Tout ce qui est procède de la même genèse permanente
- Tout ce qui est dispose d’un potentiel infini d’énergie
- Tout ce qui est, est bipolarisé
- Tout ce qui est, est interconnecté par un centre de même nature mais placé singulièrement dans l’espace/temps
La guerre est donc finie car tout procède de l’Un dans la diversité infinie de son expression localisée.
Erik Gruchet, Saint Pierre le mardi 18 décembre 2012
P.S : Le physicien Nassim Haramein et ses travaux sont à découvrir en anglais sur http://theresonanceproject.org et dans de nombreuses vidéos conférences sur le net dont certaines sous titrées en français.
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