jcomme je vous comprends Romain, Pour rajouter dans le pathos, sorry, mais c’est important. J’étais plutôt contre sur ce vieil argument que tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. Ma grand mère a eu il y a qque années une sorte d’attaque, j’avais des liens très fort avec elle, mais je ne pouvais aller la voir étant distante, avant 10 jours.
Quand je suis arrivé, j’ai vu une femme que j’aimais tant, sur le coté, des tuyaux partout pour respirer. inconsciente de rien son oeil ouvert clignait dans le vide sans rien pouvoir bouger, on ne sait même pas si elle me voyait, me reconnaissait ni même m’entendait. A chaque respiration, elle s’étouffait avec des glaires puis reprenait en halletant sa respiration, c’etait une lutte insupportable de chaque instant. Il nous semble, mais rien n’étais moins sur, qu’a ma venue, j’ai juste vu perler une larme sur ces joues, comme pour dire « tu es venue de si loin » je ne peux pas te donner d’autre signer, mais on n’en est pas moins sur. Ma mère était prostrée et moi dans une rage impuissante a donner des coups de tête dans le mur en pleurant, car je, on, eux, ne pouvaient rien faire, et ça durait, nous étions la présent innutile a croire absorber la souffrance. Nous ne parlions pas, il n’y avait plus rien a dire. Il a fallut rentrer, laisser la personne dans cette chambre au milieu de nul part, seule. 15 jours que cela durait.
Si j’avais eu assez de courage je l’aurais aidée a partir avec le poids que cela comporte pour un proche et bien que je ne crois en aucun dieu. Le soir j’espèrais que le calvaire s’arrete, pour elle... et pour nous.... j’envisageais un stratagème pour lui porter la mort la plus douce. Heureusement elle est partie dans la nuit.
Depuis je comprends l’euthanasie, et pourtant ce n’est pas un cas des plus graves, car ça n’a pas duré 6 mois.