L’auteur, en s’étonnant du soutien de Brigitte BARDOT à Gérard DEPARDIEU parce que celui-ci soutien les corridas, caractérise tout à fait le catéchisme gauchouillard(*) qui fut reprit par Jeannette VERMEERSCH, la compagne de Maurice THOREZ, dans sa célèbre citation : « lorsque l’on veut liquider un dirigeant communiste on l’accuse d’avoir dérobé une petite cuillère à la cantine. ».
Comme pour l’anecdote de la petite cuillère, en quoi une option morale concernant la corrida pourrait-elle se réfléchir sur une option citoyenne concernant l’impôt ?
Où est le rapport ?
C’est toute l’imposture à consonance fasciste de la gauche (veuillez pardonner le pléonasme).
(*) Le gauchouillard est un mutant du franchouillard.
Il en reprend l’insuffisance mentale, l’étroitesse intellectuelle, l’esprit borné et la haine farouche du juif.
Il ajoute à cet héritage la typique frustration socialiste d’envie, de jalousie, de rancœur et d’amertume vis-à-vis d’une aisance non acquise par lui-même parce qu’elle exige inventivité, créativité et productivité personnelles.
Néanmoins, il se considère un aryen de la pensée de gauche, un dispensateur de vérités définitives et absolues jamais démontrées, un grand ordonnateur de leçons de morale et de vertu seulement applicables aux autres.
Par sa matérialisation constante du négativisme, le gauchouillard est une provocation sous-jacente du totalitarisme sous toutes ses formes, favorisant notamment le développement des desseins les plus conquérants du capitalisme.