« …Alors que les milieux
d’affaires font savoir haut et fort que seule une réduction du SMIC de
20 % est susceptible de relancer et sauver l’économie française, faisant ainsi peser sur les épaules des
plus fragiles et des plus démunis le poids de la responsabilité collective,
…. ».
Déjà habitués aux inépuisables sornettes de l’auteur,
ce boniment supplémentaire ne pourrait que faire sourire.
Toutefois, ces larmes versées sur les
plus fragiles et les plus démunis procèdent
d’un cynisme particulièrement puant, en
regard des tous nouveaux contribuables qui furent « élus » en mai
2012 avec l’élection de « moi-président-pour-le-changement-maintenant ».
En effet, ces malheureux, qui n’avaient jamais subi le gangstérisme fiscal direct
de leur vie, sont impitoyablement, systématiquement et scientifiquement rackettés
par la fiscalité directe depuis l’exercice 2012.
Est-ce vraiment comparable à une hypothétique réduction du SMIG ?
Ne serait-il pas plus intelligent d’éradiquer, d’abord, le collectivisme rampant
dont l’inéluctable progression ruine rédhibitoirement notre pays depuis mai
2012 ?
« ….j’ai comme l’impression que le
mot « fascisme » est désormais dans toutes les bouches sans exception
, même chez ceux d’extrème droite qui s’en servent désormais comme d’une
insulte envers les gens de gauche, c’est dire. et donc vomi par tout le monde…. ».
Le « fascisme »
fut inventé par Benito MUSSOLINI, petit
instituteur ayant amorcé la politique comme cadre du parti socialiste italien…
Ensuite, comment qualifier un parti politique qui impose autoritairement une
loi bouleversant et désorganisant la société dans ses structures intimes les
plus fondamentales, ceci en ne s’appuyant que sur 24,68% de l’expression de la souveraineté du peuple ?
« …dès l’instant que la loi
est adoptée, elle s’applique pour tous, précisément. Là est un des principes
fondamentaux de notre démocratie et de son équilibre. Dès lors,
manifester n’est plus un droit mais bel et bien un délit d’insoumission…. »
Insoumission ?
Il s’agit tout simplement de dire que la loi sur le mariage libre se
nie d’elle-même
dès
lors qu’elle :
— - Sacralise la sodomie dans le code civil.
— - Sublimise la sodomie dans l’état civil de la famille.
— - Conchie l’anthropologie.
— - Conchie l’œcuménisme religieux de l’homme et de la femme.
— - Conchie les fondements de toute confession.
— - Conchie le droit naturel.
Mais comment dire que cette loi scélérate, adoptée dans
la plus pure tradition de l’imposture socialiste (veuillez pardonner le
pléonasme) s’impose à tous ?
En effet, elle fut votée par une assemblée
nationale comportant une majorité de gauche détenue par 314 sièges sur
577, alors même que cette majorité ne fut obtenue que par une base électorale de 10.668.159 voix sur43.234.000
électeurs inscrits.
Soit une loi incontestablement fasciste puisqu’imposée
au pays par la seule volonté de 24,68% de
ses citoyens !
« moi-président » vient d’exploiter, jusqu’à
la trame, l’une des nombreuses turpitudes
lui ayant permis de s’installer dix-huit mois au plus haut des ors de la
république, il s’agit de la mystification selon laquelle il eut été possible d’inverser la courbe du chômage en dix-huit
mois…
Cette duperie est telle que même un bambin eut été capable de la dénoncer …
Bien évidemment, « moi-président » ne songe nullement à réparer cet abus de
confiance en démissionnant puisqu’il a pris goût à cette panacée monarchique lui
ayant été offert par la profonde imbécilité de ceux qui l’ont élu…
Cramponné à cet os présidentiel inespéré, il extrait de sa musette l’une des
nombreuses turpitudes qui s’y trouvent : la
croissance…
Aberration encore plus inepte que l’inversion
de la courbe du chômage, sottise sur laquelle sautent à pieds joints nombre
de thuriféraires du système, notamment l’auteur de l’article objet du présent
fil…
LA CROISSANCE ?
Où ? Comment ? Par quoi ? Jusqu’où ?
1° hypothèse :
On achète une deuxième, une troisième, un nième voiture en détruisant, le cas
échéant, les plus anciennes…
On détruit cycliquement tous nos équipements pour les remplacer.
Ce faisant, on multiplie les unités de fabrication nécessaires à la fourniture
de ces rééquipements en les doublant par des unités de défabrication des produits
remplacés.
On crée ainsi un cycle : fabrication/défabrication, dont on peut régler la
fréquence pour obtenir le taux de croissance voulu…
Voilà !
2° hypothèse :
On provoque la croissance de la pauvreté en reconstituant la population de
démunis telle qu’elle figurait dans les années 1950/1960.
Ce faisant, on crée de toutes pièces le taux de croissance à deux chiffres qui y
existait en promouvant les rééquipements des pauvres par la dominance bancaire.
Voilà !
3° Etc.
Mais que penser d’un objectif sociétal !?
Au lieu, par exemple, de prioriser la sacralisation de la sodomie par monsieur
le maire, l’IVG intégrale totalement prise en charge par la collectivité, l’emploi
des jeunes rémunérés par les contribuables, etc., ne serait-il pas mieux d’envisager,
tout d’abord, une CROISSANCE SOCIALEMENT
ET PROSPECTIVEMENT RÉFLÉCHIE, quitte à concevoir des décroissances conjoncturelles permettant, à moyen terme, une croissance pondérée, harmonieuse
et pérenne au bénéfice de l’ensemble de la société…