@Bernard Dugué,
Après relecture, permettez-moi de rester sur ma première impression. Votre « révolution Copernicienne » où est-elle ?
la compréhension des interactions au niveau cellulaire progressent, on aimerait quelques mots pour faire le point. Les interactions entre les cellules (et leur génome) et le milieu dans lequel celles-ci vivent ont été démontrées (relations de voisinage, interaction hormonales, pour les plus connues et bien d’autres). L’individu dans sa globalité est en contact avec le milieu extérieur et en retour de plus ou moins loin, la cellule l’est aussi. Nous ne sommes pas près de comprendre comment se font les transformations positives transmissibles des organismes. Les lois du hasard, la réussite des plus aptes et le temps ne sont sans doute pas suffisants à tout expliquer.
« On peut dès lors supposer que le protéome exerce un contrôle sur le génome en jouant sur l’épigénome. On peut envisager une sorte de dialectique entre protéome et génome. » Là, tout est dit. On se doutait que c’était complexe et interactif, mais maintenant c’est clair....
Vous admettrez que vu le peu de connaissance que nous avons sur ces mécanismes que l’on commence juste à voir, la prudence devrait primer et que le comportement fou de ceux qui ont ouvert la fiole du « Génie génétique » pour de basses raisons de dominance commerciale devrait vous interpeller.
C.Q.F.D.