Fethi
**** vous mettez sur le même pied d’égalité tous les « fixeurs », cela se conçoit lorsque’ on les interprète à partir d’une binarité ordre/anarchie. Mais dès qu’on tente d’interroger ces « fixeurs » en les comparant entre eux, on voit les choses dans le détail et on évite ainsi cette généralisation abusive et réductrice ****
J’ai démontré une analogie entre deux sortes de fixeurs, à travers 3000 ans et selon un biais inédit, celui de la fixation.
Pourquoi suis-passé par un biais inédit ?
Parce que pour parler des fixateurs, il ne faut pas utiliser leur vocabulaire.
Ils ont fait quelque chose de très fixant, sans dire qu’ils fixaient. Je le vois, je le dis.
**** Ce que j’essaie d’analyser dans ce texte c’est le« mythe du progrès » en tant que masque idéologique de la croissance à l’infini nécessaire à l’économie de marché. En ceci , le mythe du progrès est absolument différent des autres systèmes idéologiques comme « l’idéologie du droit divin » par exemple. ****
Si aucun des petits et grands fixateur n’a avoué qu’il fixait (et qu’il avait la ferme intention de conserver de point de fixation, de devenir conservateur) ils ont tous brandi l’argument du progrès.
Le progrès (qui n’a aucun sens pour un anrachiste de base) consistant non à devenir anarchiste, non à aller dans une autre direction non plus mais uniquement à les rejoindre pour se fixer en moules à leur pied. Cela depuis 3000 ans au moins.
Mangez désormais comme ceci, cela constituera un progrès
Mariez-vous comme ceci
Couchez comme cela
Dessinez comme ceci
Pétez comme cela
....
Et vous aurez progressé de votre saleté d’animalité