Je vous laisse délirer sur le Cas4 où le photovoltahic se substituerait
à des centrales non-nucléaire (gaz ou charbon) pour avoir un bilan
carbone positif. Vous vivez en France que je sache ! Enfin cela prouvera si il le faut le sérieux du scientifique... Résultat sans appel, en France, le bilan carbone du photovoltahic est 15x supérieur à celui du nucléaire. Cela est dû à sa fabrication (c’est marquer texto si ce n’était pas évident par la nature même de cette source d’énergie). Pour les vrais antinuk, vous me calculerez la radioactivité largué dans l’air par le charbon pour purifier le silicium du prohtovoltaHIC au lieu de nier les masses de matières transformés/Kwh.
http://www.bco2.fr/en._photovoltaique_059.htm
- Cas 1 : l’installation photovoltaïque isolée
Le cas traité ici est celui d’une « ferme photovoltaïque » de 1 000 m2 de panneaux solaires polycristallins de 140 Wc / m2
nominal, disposés à 35° plein sud sur des ossatures support en
aluminium fixées sur un ensemble de toitures terrasses existantes, en
France métropolitaine. Ses émissions de construction sont de l’ordre
de (source Erik Alsema & al., complétée) :
Le total est d’environ 400 tonnes équ. CO2, le poste
majoritaire étant la fabrication des panneaux, et notamment de leurs
cellules.
La localisation permet de recevoir une irradiation incidente de 1 400 kW.h / m2
/ an, pendant une durée de vie supposée de 30 ans (compris un
changement complet des onduleurs). En prenant en compte une estimation
cumulée des multiples petites sources d’écart entre la production réelle
et le potentiel maximal théorique à neuf (indice de performance +
dégradation dans le temps), le bilan carbone® est alors de l’ordre de l’ordre de 100 g CO2e / kW.h.
http://www.bco2.fr/en._nucleaire_199.htm
Du point de vue des strictes émissions de gaz à effet de serre,
la technologie de fission nucléaire est très peu émettrice. Certes les
ouvrages colossaux mis en chantier et à démanteler en fin de vie
constituent en soi de très lourdes émissions, mais une fois divisé par
la quantité tout aussi énorme de kW.h produits, il convient de constater
leur relative faiblesse. Il en est de même pour les traitements
successifs de préparation de retraitement du combustible. (spéciale dédicace aux neuneus)
Les données suivantes (source ADEME et PSI Zurich) correspondent à un
cas représentatif français, dont les émissions relatives à la
préparation du combustible bénéficient d’une électricité nationale
faiblement carbonée. Les valeurs de certains postes de traitement
utilisant de l’électricité peuvent être multipliés en proportion
relative du contenu carbone de l’électricité moyenne du pays considéré.
Le Bilan Carbone® d’une centrale nucléaire française est de l’ordre du suivant (en g CO2e / kW.h)
Le total est d’environ 6 g CO2e / kW.h, les 2/3 étant
lié au fonctionnement, 1/3 à la construction des infrastructures. A
l’international, cette valeur peut être portée à plusieurs dizaines de
grammes de CO2e / kW.h en fonction de la nature de l’approvisionnement
en uranium, de son enrichissement, de la consommation de la centrale en
minerai, de sa technologie, et de sa durée de vie (source B. K. Sovacool
2008).