***** il s’agit pour eux « d’extraire et exploiter » des informations contenues dans des textes pré-digérés au travers « d’activités » formatées où les réponses sont dans le texte. Voilà *****
Excellente synthèse !
Et en effet, je pige que vous en soyez devenu prof de linguistique
(Tiens, précisons un détail. Un gosse issu d’exotique ne peut que mal vivre le gavage du génie Blanchiste et apprécierait que ses profs mettent à l’honneur des inventions de nègres. Tel notre feu tricolore. Fouillez le Net sur ce sujet et vous découvrirez les milliers d’inventions faites par des exotiques. Vous les diriez en classe, vous provoqueriez une émulation automatique)
L’éolienne
Lorsqu’il n’y a pas de mur-cône, le cylindre bouchon est entouré d’un vent laminaire. Les molécules périphériques de ce cylindre (qui sont insensées) sont progressivement entraînées entraînées par le vent directionnel (qui ralentit en ce miroir) et reprennent de la vitesse. Le bouchon serait plutôt très lent au centre du bouchon cylindrique et plutôt rapide sur ses bordures. Cette réaccélération sur les bordures est à très faible débit tant la couche miroir est mince. Cette couche miroir ne s’épaissit et ne s’élargit en diamètre qu’assez loin derrière l’éolienne. Il faut des centaines de mètres pour que tout redevienne homogène et à vitesse du vent
L’évacuation du bouchon ne se fait par mélange en cylindre élargi que loin derrière. Le bouchon reste très présent juste derrière l’hélice.
Nos éoliennes sans mur sont très bouchées en dépit des apparences.
S’il y a un mur cône, le bouchon est entouré de molécules moins agitées que lui. Sans pression dynamique, non pénétrantes.
L’air agité et dynamique en bazar du bouchon peut plus facilement pénétrer cet air immobile et se mélanger immédiatement à lui. Comme il s’y mélange radialement et centipètement en profondeur il y gradient et non plus plus miroir comme dans le cas sans mur et la diffusion des mouvement, des énergies, des cinétiques, se fait très facilement
Le bouchon dynamique se voit offrir un hémisphère d’expansion où se décharger immédiatement. Il n’y a pas nécessité de reprise de vitesse directionnelle pour évacuer. C’est une évacuation par extension sphérique avec facteur cubique donc.
La décharge du bouchon est plus rapide derrière un mur-cône
De combien ?
Je ne le sais pas.
Ici, nous avons réfléchi sans formules. Nous avons portant découvert le bouchon et nous avons pu progresser vers la solution en comprenant bien que ce sera l’expérience avec des bouts de ficelles et cartons qui nous prouveront ce qu’aucun calcul d’aucune formule du XIXème ne peut déterminer. (Nos calculateurs seraient capables d’anticiper le résultat mais seulement s’ils sont formatés par des expériences du même genre, donc par similarité. Non par l’application de seules formules du XIXème)
(Les expériences à bouts de ficelle -ensuite reformatées sous allures de formules pour la jouer docteur- ont déjà prouvé l’avantage qu’apporterait un cône arrière raisonnable autour des éoliennes. C’est à l’arrière qu’est le problème et c’est pareil pour les hélices de bateau).
(Un cône concentrateur avant serait sans intérêt)
Le plus important ici c’est de voir que nous pouvons aller très loin en raisonnant à la manière de Pythagore ou d’Aristote et que les formules toutes faites ne débouchent pas tous les bouchons.
La bombe atomique française est entrée dans les ordinateurs par l’expérience. Le calcul avait certes prédit que ça chaufferait fort mais n’avait pas prédit le champignon et encore moins sa forme.
Il ne faut pas que les TP prouvent la formule, ils doivent l’enrichir et la modifier. C’est capital pour progresser.
Je vous suis reconnaissant d’avoir compris le sens de notre expérience et d’avoir joué le jeu sans manières.