OK, voici un lien avec de larges extraits des déclarations de Marc Machin
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/marc-machin-et-ses-conneries-a-la-marc-dorcel_1200343.html
un extrait des déclaration de Marc Machin durant le proces en révision :
« En mars 2000, alors qu’il carbure à »15-20 joints par jour« , débutent »les conneries« . La cour lui demande de s’expliquer. Il rechigne à donner des détails puis se prête à l’exercice, d’une traite. Le 13 de ce mois, Marc Machin explique avoir remarqué, gare Saint-Lazare, alors qu’il est »dans un état de défonce« , une femme en »tenue un petit peu sexy« . Il ne la quitte pas du regard, descend au même arrêt qu’elle, à Suresnes, et la suit jusqu’à son immeuble. Il pénètre dans le hall et l’aborde, »très poliment« . »Auriez-vous une cigarette ?« Elle la lui offre »gentiment« . En guise de réponse il lui dit : »J’aimerais vous lécher le minou". Puis, raconte-t-il sans ciller, il l’agresse, lui met des gifles, lui arrache ses vêtements et la viole. Elle a quarante ans, lui dix-sept.
En janvier 2001, même pulsion et mode opératoire. Il a une envie pressante, se rend dans un café, se « soulage aux sanitaires des hommes », se lave les mains, et remarque une femme, « en jupe courte et chemisier ouvert ». « Et voilà, il y a eu passage à l’acte, résume-t-il. J’ai franchi la ligne rouge. » Pourquoi ne pas avoir respecté le suivi socio-médical qui accompagnait sa première peine de prison ? « Après le viol, j’avais tellement honte que je me suis dit que je ne recommencerai jamais. La deuxième fois, c’était la faute de l’alcool, le diable », se justifie-t-il."