FB, encore une fois, tout à fait d’accord sur les faits essentiels, mais
pas sur les conclusions et moyens d’actions que vous préconisez.
Par
exemple, le fait qu’Assad soit contre les USA ou plutôt contre Israël
en fasse une personne respectable comme un démocrate et non plus un
dictateur.
Vous m’écrivez :
« Si vous avez d’autres pistes qui vous semblent plus efficaces, je serais curieux de les connaître... »
La
première des choses me semble consister à rassurer plutôt qu’à
inquiéter. Cela ne consiste pas à dire que le monde est celui des
bisounours, mais qu’il y a bien une autre manière de faire de l’économie
et une société bien plus efficace. Et pour cela qu’il faille abandonner
celle existante car celle ci a pour but de réduire, puis anéantir notre
citoyenneté à court terme. Bref, l’insécurité c’est eux ! Et de montrer
par quel mécanisme ils agissent. Comment l’information est manipulé. Ce
que vous faites mal suivant l’exemple donné plus haut.
Si le
politique aujourd’hui ne joue plus son rôle, cela veut dire qu’il n’a
plus sa place. Cependant et vous avez tout à fait raison, la seule
manière de faire la révolution aujourd’hui est au niveau national, en
passant par les urnes car l’effectivité du pouvoir est détenu par le
politique et non par le ploutocrate. Conséquence, créer un parti sans
parti pris. Celui ici consiste, à la manière du parti crée par
Asselineau, en un parti dont l’unique lettre de mission est la prise de
pouvoir pour la mise en place d’une assemblée constituante. Donc,
l’ouverture d’un débat national à porté universelle, sur la société
d’aujourd’hui et de demain, consistant bien à définir le contrat social
unissant les citoyens.
La nation, dans sa philosophie à une porté
universelle, celle consistant à définir des valeurs acceptables et
défendables par tout être humain. Car fondamentalement, nous sommes tous
naît sur la même planète Terre, sur laquelle vivent des communautés de
peuples, fondant sa diversité culturelle.
Face aux crises
présentent et à venir, la question qui nous est posé est de savoir si
nous voulons les affronter uni, les uns avec les autres ou bien
continuer à se faire la guerre, les uns contre les autres. Devinez
quelle solution permet de mieux s’en sortir et dont la très large
majorité des gens souhaite ? Il est sidérant que l’on fasse tout le
contraire de ce que nous voulons pour une très large majorité. Mais cela
s’explique très bien par la peur ancestrale de l’étranger envahisseur.
Sauf que dans un monde solidaire, il n’y à plus d’étranger...
Quoiqu’il en soit, je ne vois que deux alternatives, soit retour vers le nationalisme avec plongeons dans le chaos et retour dans l’obscurantisme, soit vers la mondialisation qui ne peut survivre que par la fin de la propriété privé et de la ploutocratie. Car aucune force totalitaire ne peut survivre à la mondialisation. L’enjeu est de mon point de vue, éviter le chaos et préparer la chute finale de la ploutocratie...