@ epicure
... « mécaniques » opposé à « naturelles », qu’est-ce que ça veut dire ?
Ne vaut-il pas mieux parler de « artificielles », qui s’opposerait à naturelles ? Or, selon ce que vous en dites, la pauvreté ne semble rien avoir d’artificiel.
Pour la suite, je vous ai répondu ailleurs mais je me répète : La richesse et la pauvreté se définissent l’une par l’autre et sont par essence relatives.
Excepté à l’extrême base de la pyramide sociale et de ses niveaux de revenu, le riche des uns est est l’un des pauvres du suivant et ainsi de suite jusqu’au sommet. C’est d’abord en cela que la structure de la société est pyramidale.
Sachant que la richesse peut revêtir d’autres formes que matérielles, assorties d’autres formes de pouvoir.
Quant aux privilèges abolis lors de la Révolution, peut-être serait-il bon d’ouvrir les yeux sur ceux qui les ont remplacés et qui sont devenus autrement plus nombreux, en même temps que s’est multiplié le nombre de leurs bénéficiaires.
Enfin, qui a dit qu’il ne fallait pas remettre en cause les pouvoirs régnant dans la pyramide sociale ? La question serait plutôt de savoir comment le faire plus intelligemment que cela n’a été fait jusqu’ici avec les résultats que nous connaissons.