... un peu dommage que le précédent intervenant ait choisi un tel pseudo pour émettre un cri d’alarme tout à fait légitime. Position sûrement très idéaliste que la mienne, songeant encore aux Lumières et aux philosophes, je crois qu’un peuple a pour première fierté de savoir aimer ses enfants. D’où ma solidarité vis à vis du mouvement « pas de zéro de conduite... » car l’éventualité que l’on puisse songer, de manière déterministe, à « marquer » des enfants comme délinquants potentiels n’est ni plus ni moins qu’une inepsie aussi périlleuse que cruelle. Qu’est-ce que la dette symbolique, si ce n’est en fait, une notion qui invite chacun de nous à se respecter, tant à travers les Ascandants que vers les Descendants ? Comment pourrait-on accepter de devenir étranger au souci du juste, alors que, si souvent, l’Histoire se rappelle à nous à travers tant et tant de « facilités » passées dans les « mots de tous les jours ». Nécessité de mettre en échec les thématiques déterministes abusives, et les mille manières de monter les gens les uns contre les autres, pour différents qu’ils soient. Mettre en échec, aussi, la prégnance abusive de l’idée de « loi du plus fort » (souvent biologisante) pour renforcer, si possible, l’idée de République...
Espérons...