La véritable réponse est c’est là !
(Démocratie Évolutive
La Démocratie Évolutive permet à chacun
de développer une citoyenneté créative, favorisant l’émergence de
nouvelles formes sociales lesquelles deviennent le reflet des
aspirations individuelles et collectives, à un moment donné. Ces formes
sociales sont évolutives, à la mesure de la mobilité et de la créativité
des citoyens.
La Démocratie Évolutive c’est :
- Une gestion des affaires publiques par la société civile
- La fin des réformes par le haut
- Le droit à l’expérimentation
- L’évolution au lieu de la révolution
- Le droit au référendum et à l’initiative populaire
- Une Économie à Valeurs Humaines
- Des Services Publics Citoyens
Principes de la Démocratie Évolutive
1. Une gestion des affaires publiques par la société civile
La Démocratie Évolutive permet à chacun
de développer une citoyenneté créative, favorisant l’émergence de
nouvelles formes sociales lesquelles deviennent le reflet des
aspirations individuelles et collectives, à un moment donné. Ces formes
sociales sont évolutives, à la mesure de la mobilité et de la créativité
des citoyens.
2. La fin des réformes par le haut
Un mythe tenace empêche la réalisation
d’une véritable démocratie. Il s’agit de la croyance que l’on peut
réformer par le haut. On attend alors la femme ou l’homme providentiel
qui prendra en main les destinnées du pays et apportera les solutions.
Cette illusion s’intensifie lors de chaque campagne présidentielle et
culmine le jour du vote populaire.
Mais les surlendemains ont toujours un
air de « gueule de bois ». Au fond de lui, le citoyen sait que toute
réforme par le haut est mission impossible. Mais il s’adonne à ce
mirage, faute d’une autre perspective.
Refondre la démocratie c’est se tourner
vers le changement qui, en permanence, cherche à prendre corps sur le
terrain, là où les citoyens vivent et agissent.
3. Le droit à l’expérimentation
La Démocratie Évolutive place donc en
son centre le droit à l’expérimentation. Pour entreprendre des réformes,
elle n’attend pas que se dessine une majorité au niveau national et que
des représentants du peuple votent une loi. Un tel processus tue la
prise d’initiative par le citoyen, se révèle trop lourd et trop lent.
En démocratie, une réforme et une innovation doivent pouvoir prendre corps là où elles apparaîssent comme projet.
Une telle approche suppose de revisiter les notions de gouvernement unitaire et de service public uniforme.
4. Évolution au lieu de révolution
Pour entrer en Démocratie Évolutive, il
n’est pas nécessaire de faire table rase du passé par une révolution. Il
ne s’agit pas d’attendre le grand soir. Le nouveau doit pouvoir se
mettre en oeuvre et coexister avec l’ancien, la transformation se
faisant progressivement et s’améliorant au vu des résultats de
l’expérimentation.
5. Référendum et initiatives populaires
Pour que les citoyens soient en mesure
d’innover, ils ont besoin d’un cadre légal qu’ils doivent pouvoir
proposer eux-mêmes. Les citoyens doivent être en mesure d’intervenir
directement dans les lois, sans passer par la représentation nationale.
C’est ce que l’on appelle la démocratie directe laquelle utilise deux
outils distincts : le référendum et l’intiative populaire. Ils sont le
minimum vital de la démocratie. L’obtenir est la toute première étape
vers l’évolutivité de notre société.
6. Démocratie Évolutive et Économie à Valeurs Humaines
Parallèlement une autre démarche est à
entreprendre, celle de la transformation de l’économie. Il serait
illusoire de penser que davantage de démocratie suffirait à régler les
problèmes du monde et que, par exemple, nous pourrions atteindre un
partage plus équitable des richesses à partir d’une autre forme de
gouvernement ou par des taxes et des impôts.
7. Services Publics Citoyens
Une Démocratie Évolutive implique une
toute nouvelle forme de service public. Pour la saisir, il convient, en
premier lieu, de clarifier ce qu’est un service public, quels en sont
les critères et comment les citoyens et les organisations doivent s’y
conformer.
Dans chaque domaine on établit donc un
cahier des charges qui définit les modalités, les règles et les
obligations de contrôle auxquelles les institutions se soumettent si
elles veulent avoir le label de service public. Ainsi, on sortira de
l’opposition stérile entre les partisans du „moins d’État“ et les
défenseurs du service public centralisé. )
est reste sur une vision classique du pouvoir, alors que si y
élargissait sa conception du monde au exigence de notre temps, non
seulement, il crée un véritable projet de société qui ne peut que
redonné l’espoir et l’espérance que tous ensembles, nous pouvons nous
relevez et lutter de pied ferme contre le fatalisme qui y a une seul
façon de régler les problèmes de la Nation en simplement redonné du
lustre à une unité National qui se base exclusivement sur le socle
du CNR.
Il ne faudrait pas que UPR se constante que de resté
simplement légaliste des institutions et de l’Esprit de la constitution
de la 5nes Républiques, elle doit aussi être novatrice et répondre à
l’attente profonde que l’on ne peut être dans un Pouvoir Paternel
Autoritarisme, et qu’il y a à tenir compte que ces la sommes
d’individualités citoyennes doivent représentent un véritable contre
pouvoir temporisateur face à l’omniscience et l’omnipotence des pouvoirs
du Monde Politique et du Monde Économique.
Sa va faire grincé les dents de tous les simples d’esprit et les malades du cœur !