antoine : je ne m’autorise, personnellement aucun avis sur la question du Mali ; je suis contre l’ingérence, point. Mais, étant informée par les médias, je ne peux pas me faire une idée de la réalité. Je garde donc toute parole à ce (ces) sujet, pour moi.
Ma fougue et ma colère sont intactes quant il s’agit de faits ou d’états de choses, que je sais.
Comme, à moins d’avoir lu trop vite, vous ne dîtes rien de plus dans votre article que ce que j’ai déjà lu - et que j’approuve : c’est la guerre pour la main-mise sur l’énergie !- oui, c’est vieux comme le monde. En tout cas, tant que les gens consommeront du gaz et de l’électricité nucléaire, je pense qu’ils devraient la boucler. Donc j’ai retenu votre critique- qui, tout de même n’est pas une critique de fond mais de forme- du FdeG, parce qu’elle est une récidive. Ce qui me gêne toujours, par les temps qui courent où l’urgence devrait nous pousser, c’est les critiques ( souvent justes du reste) des uns ou des autres à gauche ; ce n’est pas le moment, à moins de faire des critiques constructives, enfin, qui fassent réfléchir. C’est tout ce que je voulais dire ; et si mon attitude était conformiste, j’en serais comblée ! Mais ce n’est pas ce que je constate tous les jours, malheureusement.