Le principal moteur du doute c’est que bon nombre d’absolues certitudes de l’homme se sont avérées fausses.
Par exemple, quand j’étais au collège il y a 15 ans, on m’a enseigné que les cellules du coeur, les neurones, et les cellules qui composent nos dents, ne pourraient JAMAIS être reproduites. JAMAIS. Et aujourd’hui c’est possible.
Dans un autre registre, Microsoft n’a jamais cru dans Internet avant de se rendre compte de sa monumentale erreur.
Le problème avec les théories avancées ici, c’est que si on suit cette logique, il faut mettre en péril toute l’humanité.
Mettre un terme à la société que nous connaissons en lui subsituant un autre système.
Même avec la force des armes, et avec les goulags, les communistes n’ont pas réussis.
Et alors même que ni les USA, ni la Chine, ni tous les autres pays ne veulent mettre en place des solutions réelles, il faudrait miser néanmoins sur une forme de décroissance ?
Mon doute actuel est le suivant. Ne serait-ce que ces pays (dont le notre) misent d’avantage sur notre habilités à inventer de solutions inédites.
La seule solution proposée, c’est de mettre un frein à l’économie. Mais encore une fois, on ne peux demander à des millions de personnes de changer leurs habitudes.
Avant de réclamer le changement, mesurez-vous reellement ce qu’il implique. S’il doit entrainner des millions de morts (je n’exagère pas, les expérimentations economiques des sociétiques ont fait bien pire), est-ce la monté du niveau de la mer est un drame tel qu’il mérite ce sacrifice.
C’est indéniablement affreux comme raisonnement. Alors s’il se peut que l’homme ne soit pour rien dans cette réalité (bien quenje pense le contraire), on ne va pas en plus le priver de son économie pour y faiue face.