Quand dans le même temps où sont passées sous silence la plupart des affaires liées aux médicaments et vaccins, la télé fait la publicité autour de l’amélioration de l’espérance de vie et de l’augmentation du nombre de centenaires, il vous sera difficile d’être entendu et compris !
En effet, l’évolution positive de l’espérance de vie est couramment attribué à la médecine et notamment aux vaccins. Diminuant voir omettant que l’amélioration des conditions de vies dans tous les autres domaines que sont l’accès à la nourriture, les conditions de travail, l’hygiène de vie et de confort ont évoluées concurremment avec les avancés de la médecine. Qu’on ne peut donc attribuer la prépondérance à la médecine sur l’augmentation de l’espérance de vie. Mais bien au contraire, qu’on peut considérer que l’évolution de l’espérance de vie est en corrélation directe avec l’évolution de la politique sociale, seule induisant un accès de toute la population à une meilleure médecine, nourriture, conditions de travail et droits à la retraite.
Ce qui présuppose qu’une régression des droits sociaux s’accompagnera obligatoirement par une diminution de l’espérance de vie. Indépendamment de la médecine, car celle ci est dépendante de la politique sociale et non l’inverse.