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Commentaire de louphi

sur La guerre contre le terrorisme international est-elle perdue d'avance ? Chronique d'une défaite annoncée


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louphi 19 janvier 2013 21:24

lamouchekipanse

« Si l’on aborde le problème du terrorisme sous un angle religieux, nous avons perdu d’avance. »

Cette phrase résume bien votre article. C’est une autre formulation du titre. Mais vous avez tort. Bougrement tort, car tout déprend de quel type de terrorisme. Tous les terrorismes ne se ressemblent que sur un seul point : le recours, par un individu ou un groupe d’individus, à la violence contre l’ordre établi, comme moyen privilégié d’action pour parvenir à ses fins.

Il importe cependant de ne pas confondre la terreur, son usage et le terrorisme. Toute terreur ne procède pas du terrorisme. Par exemple, la révolte des exploités contre les exploiteurs est un usage de la terreur qui ne peut être qualifié de terrorisme parce que cette révolte a pour finalité de supprimer l’exploitation, la spoliation, et non de l’entretenir. Par contre, l’usage de la terreur par les classes sociales dominantes exploiteuses, contre les classes travailleuses spoliées, est bien du terrorisme car cette terreur, qui a pour objet de perpétuer la spoliation, est la condition « sine qua non » de l’existence même de ces classes dominantes.

Le terrorisme a plusieurs natures et plusieurs visages. Un exemple : le terrorisme d’un gang de braqueurs de banques n’est pas semblable à celui d’un tueur en série. La motivation du premier, c’est s’emparer du pactole, du butin ; tandis que la motivation du second, c’est donner la mort successivement à plusieurs personnes. Le gang des braqueurs peut commettre un forfait sans mort d’homme contrairement à un tueur en série. Ces deux sortes de terrorisme diffèrent par la motivation, l’intention, le but et la méthode, le mode opératoire.

Les inégalités sociales engendrent le terrorisme. C’est un fait. Mais, une fois engendré, le terrorisme s’exprime et s’affirme à travers des individus, groupes et réseaux d’individus qui en deviennent des instruments, des pratiquants, des propagateurs, des gardiens et des idéologues. Les classes sociales dominantes, leurs noyaux, cercles et organisations sont autant d’exemples de la manifestation du terrorisme dans la société. Les inégalités sociales et le terrorisme qu’elles engendrent ne sont pas des phénomènes de fiction. Ce sont des phénomènes réels qui ne s’appréhendent que par leur personnification à travers des individus et groupes d’individus. Voilà pourquoi traiter des inégalités sociales ou du terrorisme qu’elles engendrent, c’est avant tout et surtout traiter des personnes qui les incarnent, de leurs comportements, de leurs idées. Sinon, c’est faire du charlatanisme.

Dans la hiérarchie des caractéristiques du terrorisme à traiter, se présente d’abord son idéologie. Trois sortes d’idéologies au moins, en tant qu’expressions du terrorisme, sont à distinguer même si elles peuvent parfois se recouper ou se côtoyer. Les idéologies économistes et les idéologies idéalistes. Les idéologies idéalistes à leur tour peuvent se classer en deux catégories : les idéologies anarchistes ou anarchisme et les idéologies mystiques ou mysticisme. Les idéologies terroristes mystiques sont des religions. La religion monothéiste abrahamique est l’idéologie terroriste mystique qui occupe la place publique mondiale. La caractéristique principale du monothéisme abrahamique est d’avoir accroché, sur les lèvres d’un personnage mythique et mystique appelé Yahvé ou Allah qualifié de dieu, la doctrine la plus élaborée du gangstérisme indo-européen moyen-oriental dans les temps anciens.

 « Le terrorisme actuel n’est pas un terrorisme religieux malgré les apparences, mais résulte bien des inégalités sociales qu’exprime Armatya Sen entre ce Nord et ce Sud. ».

Le terrorisme actuellement sur la sellette dans le désert du Sahara, au Mali, est parfaitement circonscrit. Il possède un visage bien identifié, le visage arabo-maghrébin ; un prophète, Mahomet ; une doctrine, le Coran dicté par Mahomet divinisateur d’Allah ; un code de comportements, la Suna, traduction de la vie de Mahomet. Que faut-il d’autre pour que ce terrorisme doctrinaire soit religieux ? C’est incroyable l’absurdité des suggestions de certains esprits tordus.

Même si les inégalités sociales nourrissent ce terrorisme, ses ambitions, telles qu’elles sont exposées et mises en œuvre à la face du monde, sont avant tout religieuses. On l’a vu en Afghanistan, on le voit au Mali, on le voit partout dans le monde Mahométan. La préoccupation de ce terrorisme est bien d’entretenir des inégalités sociales comme au Qatar, en Arabie et autres monarchies et Etats arabes et maghrébins.

S’il ya bien un fossé social entre le Nord et le Sud, le terrorisme religieux, par sa doctrine mystique, vient cannibaliser les cerveaux pour ne pas  comprendre ces inégalités. Or, sans le cerveau, sans comprendre les inégalités sociales, on ne peut efficacement les combattre. Donc, pour combattre les inégalités sociales, il faut d’abord s’assurer que le cerveau n’est pas corrompu, phagocyté par une doctrine funeste, que le cerveau est bien en place et en bonne santé. Sinon, on est inapte pour comprendre et combattre les inégalités sociales.

En réalité, prétendre que « le terrorisme actuel n’est pas un terrorisme religieux » et s’abriter derrière les inégalités sociales, c’est en fait empêcher de s’intéresser à l’Islam pour comprendre le caractère profondément nocif de cette funeste religion. C’est empêcher de comprendre que l’islam tout court, c’est le banditisme transformé en religion, le gangstérisme tirant sa justification dans le mysticisme divinatoire, le gangstérisme prétendument ordonné par Dieu. C’est défendre le terrorisme religieux islamique. C’est défendre le banditisme mahométan. On peut parfaitement en juger par les préceptes du Coran dont voici quelques spécimens :

« 18. Allah a très certainement agréé les croyants quand ils t’ont prêté le serment d’allégeance sous l’arbre. Il a su ce qu’il y avait dans leurs cœurs, et a fait descendre sur eux la quiétude, et Il les a récompensés par une victoire proche

19. ainsi qu’un abondant butin qu’ils ramasseront. Allah est Puissant et Sage.

20. Allah vous a promis un abondant butin que vous prendrez, et Il a hâté pour vous Celle-ci et repoussé de vous les mains des gens, afin que tout cela soit un signe pour les croyants et qu’Il vous guide dans un droit chemin ;

21. Il vous promet un autre butin que vous ne seriez jamais capables de remporter et qu’Allah a embrassé en Sa puissance, car Allah est Omnipotent.

22. Et si ceux qui ont mécru vous combattent, ils se détourneront, certes ; puis ils ne trouveront ni allié ni secoureur.

23. Telle est la règle d’Allah appliquée aux générations passées. Et tu ne trouveras jamais de changement à la règle d’Allah.

24. C’est Lui qui, dans la vallée de la Mecque, a écarté leurs mains de vous, de même qu’Il a écarté vos mains d’eux, après vous avoir fait triompher sur eux. Et Allah voit parfaitement ce que vous œuvrez. » (Sourate 48 : AL-FATH - La Victoire Eclatante).

On peut aussi en juger par la vie de Mahomet brièvement et excellemment résumée par Daniel Martin :

« Né dans une famille pauvre du clan Hashimite, Mahomet Sans Khadija Bint Khowaylide serait resté sans doute simple chamelier et l’Islam n’aurait sans doute pas vu le jour. Khadija sa patronne de 15 ans plus âgée que lui, deux fois veuve et mère de plusieurs enfants succomba aux charmes de son chamelier Mahomet âgé de 25 Ans et l’épousa faisant de lui un notable. Cette situation matrimoniale est sans doute mal vécue. Devenu notable il peut se permettre de faire des retraites dans le désert. Vers 40 ans il fait une première expérience mystique ... Ce qu’on peut dire c’est que ce prophète analphabète va s’avérer un redoutable chef de guerre et à ce titre n’a jamais été étouffé par les scrupules humanitaires. Sans argent la petite secte initiale attaque une caravane puis avec les gens de Médine une grosse caravane venue de Gaza, 50 ou 80 morts. Maître de Médine il élimine les tribus juives 2 tribus sont chassées, la troisième les Khuraysa est proprement liquidée 500 ou 900 hommes sont décapités, les femmes et les enfants sont vendus comme esclaves. Le prophète se réserve l’épouse d’un des suppliciés La belle Rayhana. Cette tuerie montre que le prophète ne plaisante pas. La terreur et la guerre seront les meilleurs moyens d’obtenir des conversions. Pour ce qui est de la sexualité du prophète ont peut dire qu’elle est débordante une dizaine d’épouses et combien de concubines ? Aicha son épouse préférée à été si j’ose dire dépucelée à l’âge de neuf ans, donc une enfant. Lors de la prise de l’oasis de Khaybar qu’il pille il épouse une belle captive de 18 ans dont il a le jour même fait tuer le mari. ... ». (Article de Daniel Martin – Agoravox, 20 septembre 2012).

A la lecture de ces quelques exhortations coraniques et de ce résumé de la biographie de Mahomet, on comprend toute la nécessité de combattre le mahométanisme, d’abord sur le plan doctrinaire, en tant que doctrine du gangstérisme, doctrine corruptrice des mentalités. Il en est de même du judaïsme, socle du mahométanisme et du christianisme. Par cette funeste doctrine, le terrorisme abrahamique prend possession des cerveaux de ses victimes, pour faire de ces victimes, des robots programmés, téléguidés, à la disposition des gourous, des imams, khalifes, émirs, prêtres et évêques richissimes. On ne peut combattre le terrorisme religieux, sans démystifier sa doctrine. Pour désarmer le terrorisme islamique, religieux, il faut démystifier sa doctrine en mettant à nu con caractère profondément mafieux.


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