Ce qu’il y a ici de remarquable dans votre échange, Jacques Laffitte et njama, c’est
que le recours à la religion et aux références bibliques n’est plus, dès lors
qu’ils servent la loi visant à casser le mariage, les "stupidités de
l’obscurantisme et autres vieilleries entretenues par des croyances
depuis longtemps dépassées, etc…" un peu partout répétées en ce moment (ce
dont je ne vous rend pas responsables).
Personnellement
j’approuve, comme njama, ces point des commentaires de Jacques Laffitte :
"ce
que doit ou devrait être tout texte religieux : une incitation à réfléchir
et non pas à se dispenser de réfléchir en suivant aveuglément l’interprétation
officielle."
ou
encore :
"la
tendance « religiosiste » est toujours forte de tout figer. C’est à
mon sens la différence entre « religion » et
« spiritualité » : la spiritualité vise à développer l’esprit,
la religion à avoir des fidèles. Ceci sous la même étiquette. La spiritualité
promeut ainsi cette sorte d’infidélité féconde qu’est la réflexion avec la
pratique du doute, de l’interrogation, qui génère connaissance, ouverture, reconnaissance
de l’autre comme altérité, etc." (Jacques Laffitte)
Mais
si je veux comme vous, njama, « secouer le Landerneau religieux », ce
n’est pas le même « tremblement de terre » que j’appelle de mes vœux et
que j’essaie de provoquer.
Je
ne saurais trop répéter, une fois de plus que "ce qu’il y a de plus terrible dans les interprétations religieuses juives
et chrétiennes" c’est la justificaation de la prétendue bonne violence de Dieu le conduisant, dans l’Ancien Testament à commander
très explicitement un très explicite génocide au moins.
Et
je ne saurais trop répéter que c’est sur cet épouvantable socle de croyance
criminogène reçu du judaïsme et du christianisme (celui-ci trahissant ainsi le prophète juif Jésus
dont il se réclame) que s’est construit le troisième grand monothéisme,
l’islam.
Mais
non, je plaisante. Simple propos d’un vieux radoteur qui se plaît à toujours faire
dévier les réflexions vers des sujets sans rapport aucun avec la réalité du
monde.
Comme chacun peut de nos jours quotidiennement le vérifier, la
prétendue « violence islamique » n’existe pas. Et c’est à la casse du mariage que doivent se consacrer les gouvernants sérieux attachés à la laïcité républicaine dans la France démocratique attachée aux Droits humains !