Qui pourrait croire que ces « gangs religieux », ces « coupeurs de mains », ces « experts en lapidations », ces « destructeurs de cultures  », ces « violeurs de civilisations  », etc., représentent vraiment une transcendance, une élévation et une éminence du genre humain ?

Qui peut ignorer que ces « terroristes de l’islam » ne sont en réalité que gangsters sans foi ni loi, trafiquants en tout genre, truands sans aucun scrupule, bandits de la pire espèce, énergumènes qu’on appelait en France les caïmans » durant nos guerres de religions ?

Qui peut ignorer qu’ils n’ont intrinsèquement qu’une consistance de roupie de sansonnet puisque leur valeur opérationnelle est directement proportionnelle aux soutiens qu’ils reçoivent de la gouvernance de la planète ?

Pourquoi ce soutien ?

Nous savons que les ressources naturelles s’épuisent quasiment partout, excepté en Afrique où elles constituent  encore un immense pactole sur lequel la gouvernance planétaire veille jalousement.

Cette exclusivité de profits n’a pu se faire que grâce aux bons soins de l’oligarchie politicienne africaine héritée de la décolonisation, cette oligarchie n’étant que corruption et immoralité alimentées par l’occident.

Mais des bouleversements récents nous indiquent clairement que cette oligarchie glisse de plus en plus dans un « Tchernobyl » politique par l’émergence croissante d’une société civile africaine elle-même tisonnée par une irrésistible émancipation civique des peuples africains.

Les tenants de la gouvernance planétaire se sont très vite rendu compte qu’il fallait « changer de monture ».

Ils ont donc considéré que seule l’obscurantisme religieux pouvait limiter la volonté des peuples à s’émanciper, d’où l’utilisation des « caïmans islamiques ».

Mais l’usage profitable de ces derniers conditionne qu’ils ne parviennent jamais au pouvoir, sachant qu’ils y seraient beaucoup moins malléables que les « croupions » de la décolonisation qu’ils remplaceraient…

Il est donc nécessaire de limiter leurs actions en les annihilant si besoin est…    

C’est le rôle du « sergent Garcia » au Mali.