Commentaire de Courouve
sur José Bové, non-violence et résistance
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Il y a d’un côté le droit constitutionnel, et légitime, de résistance à l’oppression, et de l’autre la réflexion de Denis Diderot : « Nous parlerons contre les lois insensées jusqu’à ce qu’on les réforme ; et, en attendant, nous nous y soumettrons. Celui qui, de son autorité privée, enfreint une mauvaise loi, autorise tout autre à enfreindre les bonnes. » (Supplément au Voyage de Bougainville).
Notons par ailleurs que beaucoup de choses qui n’étaient pas des délits il y a trente ans le sont devenues, notamment dans le domaine de la police de la parole. Le resteront-elles ?
Derniers commentaires
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01/03 08:20 - fullbert
Plutôt que d’écrire à tout va, je pense que vous devriez un peu réfléchir...la majeure (...)
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16/02 11:43 - BUOT-BOUTTIER
Bonjour, j’ai également récemment écrit un article sur M. José Bové. Le ton et le (...)
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13/02 07:07 - fullbert
je ne sais pas ce que tu fumes mais ça vaut bien une bonne lobotomie partielle apparament. Les (...)
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12/02 23:23 - rem
La contamination n’existe donc pas puisque les graines sont stériles
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12/02 10:19 - fullbert
tu ironises là ? bon alors on va essayer d’être plus graphique... La semence achetée est (...)
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12/02 09:32 -
A fullbert : Concernant la source des motivations de M José Bové fils, nous ne nous mettrons (...)
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