@ Rémi Mahoudeaux :
A la question « qui pourra empêcher... ? », je n’ai qu’une seule réponse : vous !
Pour faire bref : je suis allé deux fois voir mon député : la première fois avant la grandguignolade de la motion de censure, lorsque Sarkosy nous à plongé et dilué à 100% dans l’OTAN et fait de nous tout à fait plus rien, avant de nous rendre criminel, comme il l’a fait en Libye et en Syrie (+ C.D’I.). Vous avez vu la suite et le résultat sur le plan électoral en 2012....
La deuxième c’est après les législatives 2012, notre nouveau député m’a reçu, mais cette fois-ci, seulement, par l’intermédiaire de sa deuxième secrétaire. Il est évident maintenant que lui aussi est « aligné » et suivra toutes les directives du « parti » roi (tout petit roi, à la Hérode....). Vu ses réactions au sujet du « mariage pour tous » et de l’aéroport de Notre-Dame -des-Landes.... Nous avons vu, d’autre part, comment le parti au pouvoir, maintenant règle ses problèmes internes ; cf Ségolène. Donc tout autant que lors du mandat précédent la directive de parti est : tous alignés, on ne veut voir qu’une seule tête ! Mollir c’est périr !
Les pétitions signées « sur » internet qui en tient compte ?
Pour les manifs anti « mariage pour tous », il y a de la réserve : ce n’est pas toujours facile de se libérer de ses obligations familiales et de rejoindre Paris pour s’exprimer : emploi du temps, prix, difficultés diverses. J’ai suivi de très près la manifestation du 13 janvier, nous savions que ce serait une réussite. Nos dirigeants feraient bien de considérer ces faits pour bien mesurer son ampleur et sa signification.
Pour ce qui est de l’engagement, je vous invite à cliquer sur mon « mémo ». Vous verrez, c’est magique, tout ce qui est dit sur « Ago » est classé par intervenant : c’est beau la technique.... Vous comprendrez que s’exprimer par cette voie là donne une très bonne courroie de transmission à la « vox populi » : l’effet « feedback » est excellent. Mais en contre-parti on se sent « repéré ». Par les temps qui courent, ce n’est pas rien.