on peut relire ça :
Imaginez depuis l’ambiance à la rédaction du NYT.... mais plus intéressant encore est ce qu’elle voulait faire paraître, la fameuse Maureen : tout simplement qu’elle avait ramassé les preuves comme quoi l’administration d’Obama, au lieu de bloquer les accès pour faire le film, contrairement à ce qui avait clamé, avait fait tout l’inverse, allant même jusqu’à conclure que « d’après ces documents, l’administration Obama a fourni [aux cinéastes] un accès privilégié à des informations de la CIA pour préparer leur film ». Interrogée sur l’événement (et pas sur son collègue, à qui elle devrait avoir envie d’arracher les yeux) Maureen confirme sans hésiter ce qu’elle a écrit dans la présentation de son papier : « la Maison-Blanche compte sur le film de Kathryn Bigelow et Mark Boal pour contrecarrer la réputation d’inefficacité grandissante d’Obama. Le film des deux oscarisés mettra sans doute en scène les excellentes et courageuses décisions du président. Comme Obamaland l’espérait, le film doit sortir le 12 octobre – juste à temps pour donner un coup de fouet à sa campagne. » Le tour dans un timing idéal, une manœuvre montée de main de maître, s’il n’y avait pas eu ce grand journaliste... en délateur. Le grain de sable inattendu qui à faire gripper la machine.
extrait de conclusion
ndroit où tout ça est censé s’être produit a été rasé. Personne n’est allé depuis vérifier que dans les débris laissés sur place figuraient des câbles de communication pou ordinateurs et de télévision : il avait été dit, pourtant, que le reclus d’Abottabad n’en avait aucun, de moyen de communication autre que le fameux « courrier » humain, dont on a toujours pas depuis localisé le cadavre. Le mensonge, grossier, présenté par G.W.Bush qui a réussi à vendre à L’ONU des armes de destruction massives, continue, donc.
le coup du câble Ethernet découvert fout tout en l’air en fait...