Bonjour,
C’est dans l’air du temps, le « capitalisme » est un gros mot.
Être capitaliste, c’est posséder. Posséder est dans la nature humaine. C’est un signe d’évolution qui n’est pas malsain en soi.
Posséder c’est forcément partager. Au moins avec son entourage. Et transmettre...
Le capitalisme ne confisque rien, il génère.
A moins d’avoir rêvé un jour au bonheur d’être fonctionnaire en Russie, au bon vieux temps de l’URSS...
Mais finalement on est toujours capitaliste pour quelqu’un. J’expliquais un jour à un ami militant communiste (personne n’est parfait !) et qui détestait les capitalistes... qu’il possédait un certain nombre de biens (commerces, appartement...). Il est à la tête d’un beau petit capital, qui fait certainement de lui un « con de riche » aux yeux de beaucoup de personnes.
A quoi l’auteur veut-il en venir ? Je ne cherche pas. L’article est fait d’évidences, ou de théories qu’un congrès de prix Nobel d’économie n’auraient osé suggérer,
Le discours est simpliste. L’argent que les pauvres n’ont pas est forcément parti dans les mains des riches... drôle quand même. Les États sont endettés, la faute aux riches ? Parlons plutôt trading, spéculations... c’est plutôt ce système, tout à fait légal qui est à l’origine de nos problèmes, et l’irresponsabilité des dirigeants.
Quand au système inégalitaire... permettez moi de dire que tout système est inégalitaire et que c’est une nécessité pour survivre. L’employé vit parce qu’il a un patron, que le patron est dépendant de ses clients, et des fantaisies des gouvernement qui se succèdent.
L’univers fonctionne ainsi.
Les deux « patrons » de la nature sont certainement le lion et l’éléphant". Si on traduit cette hiérarchie avec notre vision d’humains qui se bouffent le cerveau à force de réfléchir... on peut dire que ces animaux, faute de pouvoir être capitalistes, sont des dictateurs.
N’oublions pas les lois de la nature. C’est un cycle hiérarchique que rien ne doit modifier.
Le sydrôme Robin des Bois... c’est un gros mensonge, une tarte à la crème intellectuelle. Dommage, les gens ont vraiment envie de croire aux belles histoires.