Au programme d’un gouvernement socialiste :
- Destruction de la nation française (enfin ça change pas beaucoup de l’UMP).
- Déluge migratoire (cela ne change guère non plus, si ce n’est que le point de retour étant atteint, on en crèvera).
- Poursuite de l’agenda ultralibéral/europe/otan/mondialisme (même topo).
- Explosion de « l’insécurité », outre les vols et les viols, disons le clairement, augmentation des agressions de haine, entraînant la mort, sous-tendues par une idéologie de racisme anti-français, ce qui s’apparente dès lors à du terrorisme. (mais finalement, qu’à fait l’UMP, si ce n’est supprimer des postes de policiers).
- Démolition de la tradition et du bon sens, bref valeurs inversées dégénératives typiques de gauche (petit « + » socialiste).
- Persécution du peuple français et de sa libre parole sous couvert d’anti-racisme (autre petit « + » typique de la gauche).
C’est un peu mieux que du « changement immobile », c’est la poursuite de la dégradation.
Pas grand chose à dire de tout ça, c’est le plan UMPS, on savait à l’avance ce que cela produirait dans les grandes lignes : de pire en pire.
Je conclurai par une citation que j’ai aperçu récemment, de Léo Ferré « la gauche, c’est la salle d’attente pour le fascisme ». Encore qu’avec l’UMPS on a déjà une sorte de fascisme 2.0, encore respectueux de certaines libertés, pas aussi rigide qu’une dictature droitière à l’ancienne, mais autrement plus redoutable par la puissance de sa propagande.
J’en viens presque à souhaiter un coup d’état militaire, quelques généraux intègres et patriotes, assurant une période de remise en ordre. Idée un peu fantasque et hautement improbable.