@ Tic-Tac & Ursulin : Merci au premier d’avoir reproduit ce texte, que je me suis recopié, et qui est un morceau d’anthologie.
Dommage qu’Ursulin ne se rende pas compte que ce texte (il en fallait, du courage, pour dire tout ça devant une assemblée majoritairement hostile !) n’est pas du calcul politicien. Non, ça, je n’y crois pas une seconde. C’est admirablement argumenté et, en vérité je vous le dis, on reparlera de ce texte dans vingt ans, une fois qu’on aura évalué les dégâts du MPT si par malheur il passe.
Améliorer la nature, certes. Mais où y a-t-il amélioration ? En quoi la reproduction sexuée est-elle un malheur, sinon pour les homosexuels, qui semblent oublier qu’ils en sont issus ? On peut certes respecter ces personnes, veiller à ce qu’elles ne soient pas persécutées ni insultées. Mais enfin, qu’y a-t-il de plus fondamental, sur le plan humain, que l’origine homme-femme de tout être humain ? C’est vraiment un viol de la nature, et de la nature humaine, qu’on nous impose. Et moi, je me sens agressé par cette proposition de loi. Comme, à l’inverse, je me sens agressé par le foulard islamique dans nos rues et les revendications de tel ou tel groupe religieux dans les cantines. Entre le viol anthropologique d’un côté et l’intégrisme le plus dur, de l’autre (le 2e étant la conséquence du premier, d’ailleurs), nos sociétés sont très mal barrées.
Il faut relire M. Azerot.