Bonjour Eau-du-Robinet

Merci pour ces éclaircissements. Et pour m’avoir rafraîchit la mémoire.

Où avais-je la tête ?! Bien sûr que la raison en est la grande entreprise de décervelage de la population par tous les medias de masse.

Une simple recherche sur le Net en associant le nom (institut Montaigne) et le mot financement, et voilà ce que l’on trouve sur Wiki :

L’institut Montaigne est subventionné par environ 80 entreprises dont :

A la lecture de cette liste, non exhaustive, il n’ait pas besoin de grands discours. On comprend tout de suite que ce cercle de réflexion n’est autre qu’un cercle de propagande. Nous avons là une belle brochette de représentants du NOM. Je me trompe ?

Que des noms que l’on associe tout naturellement avec politiques-menée-pour-les-intérêts-du-peuple. On comprend mieux la douleur que serait pour eux, la prétendue perte de 1 million d’emplois pour les Français en cas de sortie de l’Euro, n’est-ce-pas ?

On voit bien, cela en est une illustration parfaite, que le pouvoir aujourd’hui, la politique que l’on subit, vient bel et bien de ces consortiums privés qui, je quitte l’ironie, agitent l’épouvantail pour que surtout rien ne change afin qu’ils puissent continuer leur objectif de destruction des Etats-Nations avec le relais des médias (presse, radio, télé) dont ils sont propriètaires.

Ce sont effectivement eux qui font l’opinion aujourd’hui. La fabrique du consentement.

Il devrait être interdit que les medias d’informations soient propriétés des multinationales.

Quand on sera sortie de ce piège, il faudra qu’on se penche très sérieusement sur la question de l’indépendance des médias et qu’ils soient tous confisqués à leurs actuels détenteurs pour qu’enfin vive l’information. La vraie.

Faut me pardonner, mais pour le salut de mon âme, à part le Net, je ne regarde plus la télé, n’écoute plus la radio et ne lit plus la presse. j’avais un peu perdu de vue, que loin de s’être affaiblie, la propagande se porte de mieux en mieux et redouble d’efforts. Elle met le paquet quoi !

Merci pour cette piqûre de rappel.