S’agit pas tout de même d’accabler les profs, et de les rendre responsables de la baisse de niveau, patente, c’est sûr.
« Qui a tué Davy More » reprenait Graeme allwright dans une chanson : La faute à personne et à tout le monde.
C’est sûr, il est aussi difficile de donner envie de lire, que tenez, : Leur donner l’envie de passer le permis de conduire. Il y a dans l’air du temps comme un désenchantement. Plus personne n’a envie de prendre un volant, c’est plus fun, trop de règle trop de radars et de controles.
La vie derrière un écran, et les jeux video.
J’aurais adoré c’est sûr les jeux video, moi qu’était accroc au baby foot et au flipper.
Ces gamins, ce sont aussi des victimes des marques, des médias ; il aurait sans doute fallu les protéger. Il y avait des lois pour ça dans le temps. Mais le marché est arrivé avec ses diktats, et cette liberté du démagogue et du marchand imposé.
Les livres, mon bon monsieur ne sont plus ce qu’ils étaient.
Moi qui en est trois ou quatre mille dans mon grenier, je m’inquiète pour leur avenir.
Qu’est ce que je vais en faire, qu’est ce qu’ils vont devenir
Tenez, je suis qu’un Hitler ne voudrait même plus faire un autodafé.
Les gamins ne sont plus comme les petits vietnamiens avides de culture, assis par terre, avec un crayon, cinquante par classe sans moufeter.
C’est là que les enseignants se gourent. Suffit pas de diminuer le nombre pour avoir la qualité. Si je me souviens bien de mon temps, le chiffre déjà était supérieur à trente, et on baissait la tête en bossant. Mais en fait, faut bien l’avouer, pas toujours.
Bon c’est vrai Rosemar, on reconnait que le métier n’est pas toujours cool. Les gens ne voient que les vacances, l’aspect positif. les enseignants font semblant d’oublier ceux ci. Et les enseingants, qu’es ce que ca veut dire : Comment mettre dans le même paquet, comme nous le rappelait kid le chat, si j’ai bonne mémoire, dans de disparités. La grande différence avec avant, c’est ça : Cette éclatement des savoirs, et des milieux, en raison de tout ce qu’on sait, inutile d’y revenir. Alors, c’est sûr, ce boulot, comme tant d’autres, ça peut surement varier du paradis à l’enfer. Je ne me relis pas. tant pis pour les fautes.